Le métro a le vertige. Il vacille. Il tangue. Il bouscule.
Je me retiens comme je peux à cette immonde barre d’acier. Elle est ma planche de salut, mon rempart pour ne pas m’appuyer contre son corps.
Il est pourtant là, si près que je suis à 2 doigts d’étouffer. Il me parle mais je n’arrive pas à me concentrer. Son odeur. Ses mains. Ses yeux. Ses lèvres. Je suis dans un monde parallèle, suspendue à cette barre, suspendue à lui.
Tuileries.
Il me prend par la taille et m’attire contre lui. Le métro est bondé et pour une fois, j’en suis ravie. Je voudrais rester là des heures. Son regard planté dans le mien, sa main autour de ma taille, sa bouche qui m’embrasse.
Concorde.
« Tu es très belle » : 4 mots, c’est tout ce dont je me souviens. Il descend.
Mon cœur s’arrête. Mon rêve aussi.
Je me retiens comme je peux à cette immonde barre d’acier. Elle est ma planche de salut, mon rempart pour ne pas m’appuyer contre son corps.
Il est pourtant là, si près que je suis à 2 doigts d’étouffer. Il me parle mais je n’arrive pas à me concentrer. Son odeur. Ses mains. Ses yeux. Ses lèvres. Je suis dans un monde parallèle, suspendue à cette barre, suspendue à lui.
Tuileries.
Il me prend par la taille et m’attire contre lui. Le métro est bondé et pour une fois, j’en suis ravie. Je voudrais rester là des heures. Son regard planté dans le mien, sa main autour de ma taille, sa bouche qui m’embrasse.
Concorde.
« Tu es très belle » : 4 mots, c’est tout ce dont je me souviens. Il descend.
Mon cœur s’arrête. Mon rêve aussi.
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