mercredi 5 octobre 2011

Target d’un soir… tu vas voir !

Il y a cette question, qui, je suis sûre, hante vos nuits depuis la lecture de mon dernier billet : Bridget a-t-elle eu des nouvelles d’(au moins)une de ses targets ?
Réponse : Non, évidemment : Target d’un soir… Au revoir ?
Pourquoi ne suis-je pas étonnée ?

Eh bien je n’aime pas particulièrement faire des généralités, mais ces ô combien longues années de célibat ont eu raison de mes convictions de départ.
Je finis donc - malgré moi et j’en suis désolée - par classer ces chers messieurs en deux catégories :
1. Ceux qui veulent… te baiser, ou : Target d’un soir, marque son territoire. Et qui, une fois qu’ils ont eu ce qu’ils voulaient, t’oublient instantanément. Des exemples ? On en a toutes, et moi en particulier, merci.
2. Ceux qui veulent… apprendre à te connaître (dans mes rêves) mais qui n’ont pas les couilles de t’aborder/de te proposer d’aller prendre un verre/de prendre ton 10 chiffres/de te faire la cour, ou : Target d’un soir… en manque de superpouvoirs.
Il semblerait que les targets de samedi appartiennent à cette seconde espèce. C’est toujours mieux que d’appartenir à la première après tout, ne soyons pas défaitistes. J’ai pourtant lancé des signaux qui me semblaient clairs, mais je suis soit trop subtile ( ?!), soit trop… impatiente (ENCORE ? Oups).

So what ? Target d’un jour… target sans retour ?
Quoi qu’il en soit, puisque j’ai décrété que de quête du prince charmant il n’y aurait plus, je ne relance pas. Bon, ça ne m’empêche pas de vérifier 960 fois par jour que je n’ai pas de demande d’invitation Facebook ou de mail fraîchement arrivé (calcul savant pour une blonde : une fois par minute pendant mes 16h d’éveil sachant qu’une heure compte 60 minutes…). Que voulez-vous, on ne peut pas se refaire complètement non plus. Ça se saurait.

Je ferais bien le premier pas, mais je sais par expérience que je suis du genre à effrayer la gent masculine, alors je m’abstiendrai : Target d’un soir… flippe au bout du couloir.
Alors quoi ? What’s next ? Ben en fait rien. Wait and see. Je continue à garder une toute petite - minuscule - microscopique - mais néanmoins nécessaire - lueur d’espoir : Target d’un soir… il faut toujours y croire !

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Cherchez Bridget

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Je suis une femme. Et ouais, plus de « Hé Mademoiselle » qui traîne : à 30 ans, je suis passée du côté obscur de la force. Je suis blonde. Oui, oui, une vraie, à l’état naturel. Avec tout ce que ça comporte comme préjugés. Ma meilleure défense et en même temps mon meilleur plan d’attaque : le classique : « hum, c’est mon côté blonde », valable en toutes circonstances, avec en option le doigt sur la bouche pour le côté naïve-coquine-irrésistible. Pour le meilleur et pour le pire. Parce qu’il faut souffrir pour être blonde, ça se travaille et ça s’entretient Madame, j’vous le dis moi. Je suis célibataire. Un peu. Souvent. De façon récurrente. TOUJOURS. TOUT LE TEMPS ! Ok, ok, je suis un cas désespéré. Je suis drôle bien sûr. Et j’assume. BREF, JE SUIS BRIDGET ! Quand j’ai commencé à écrire ce blog, j’avais simplement envie de partager mes mots et mes maux, comme une thérapie. Maintenant, c’est BEAUCOUP plus que ça : c’est mon petit coin de paradis, c’est mon grand plaisir, c’est ma fierté. Alors « come on in » : ris, pleure, râle, aime-moi, insulte-moi, mais surtout, surtout : amuse-toi autant que moi !!!