Je
suis malheureusement un peu plus silencieuse sur la toile depuis quelques
semaines. Et pour cause : outre quelques problèmes familiaux et une rencontre
inopinée avec un homme - Oui, oui, un vrai… Enfin, jusqu’à preuve du contraire J Il faudra bien qu’on
en parle à l’occasion d’ailleurs - j’ai aussi et surtout entrepris mon propre
tour de France.
A savoir :
- Week-end à Annecy-Cluses les 16-17 juin
- Week-end en Bretagne les 23-24 juin
-
Week-end à Royan les 30 juin-1er et 2
juillet
Puis
à venir :
-
Week-end à Aix les 7-8 juillet
-
Week-end à Mâcon les 4-5 août
-
Week-end à Dijon les 1er-2 septembre
Ouf !
Pas
de « vraies » vacances estivales mais un été ponctué de petites
escapades qui font du bien au moral, un peu moins au portefeuille en revanche,
maudite SNCF !
J’ai
pu constater malgré moi qu’à chaque région française son résultat
capillaire : en ce moment de toute façon, je n’arrive à rien. Que
voulez-vous ? Théoriquement mes frisottis se lissent en cette saison
supposée sèche et chaude... Oui mais voilà, Paris a revêtu son manteau
pluvieux, orageux, humide et ma choucroute n’en fait qu’à sa tête – c’est le
cas de le dire ! Bref, ce n’est pas beau à voir.
L’avantage
quand on a les cheveux bouclés, c’est que l’on bénéficie des prévisions météo
en temps réel, sans besoin de consulter quelque site/émission que ce soit.
Disons simplement que si le matin au réveil je sens les bouclettes poindre (surtout
sur le devant de la tête), c’est mort, il va pleuvoir. Si en revanche je ne
boucle plus, mais alors plus du tout, et que mes cheveux sont raides comme des
piquets/spaghettis/cure-dents/Kate Moss qui aurait séché au soleil, c’est
clair, il fait froid et sec. Inutile de vous dire que cet état capillaire est
absolument rarissime : deux recensements à date – New York hiver 2009 et
Paris hiver 2011 – périodes durant lesquelles je me suis très clairement pelée
les miches.
J’ai
bien tenté un rendez-vous de dernière minute chez le coupe-tiffes mais victime
de son succès – amplement mérité ma foi – ma coiffeuse n’a pu honorer ma
demande. Il va falloir gérer jusqu’au… 19 juillet, date de mon espérée et très
attendue résurrection capillaire.
D’ici-là,
faisons un point perruque à date :
Pire
résultat obtenu, et de très loin gagnant sur la liste : la Bretagne
(suivie de près par Royan tout de même). Les embruns, l’air marin, la brumasse
dégueulasse : j’avais une touffe à la Jackson Five, version blondinette
des Hauts-de-Seine en villégiature. Dans ces cas-là, il n’y a rien à tenter, il
vaut mieux laisser faire la nature mais essayer de rattraper la catastrophe en
multipliant les barrettes – merci les petits achats H&M et Moa qui me
sauvent la life.
Meilleur
résultat relevé : Annecy. Il y faisait très beau et très chaud, ce qui est
tout simplement parfait. Si ce n’est que du coup, j’ai pris un petit coup de
soleil sur le crâne. Je plains d’ailleurs tous ces gens qui me voient de dessus
– à savoir en fait à peu près l’ensemble de la population française étant
donnée ma petite taille - : faites-moi signe si ça pèle quand même, faudra
bien faire quelque chose.
Quoi
faire ?... Rien pardi ! Il ne faut plus lutter : je dois
composer, quels que soient les présents génétiques de Dame Nature. Je laisse
donc mes cheveux prendre le pouvoir.
En
attendant j’interprète : cheveux ou mecs, ils sont indisciplinés, c’est un
fait. Et jusque-là, je n’ai pas eu plus de chance avec les uns qu’avec les
autres... Peu importe, dans les deux cas je garde espoir : je n’ai pas dit
mon dernier mot.
Nul
besoin de couper les cheveux en quatre ou de se faire des cheveux blancs :
le jour où j’en aurai ferré un, ça nous défrisera tous !
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