mercredi 27 mai 2009

Bricol'Girl du dimanche

Je me suis entraînée ce week-end en posant le revêtement de sol de la chambre avec un air de blonde ébahie devant l'esprit pratique de mon père (dont je n'ai manifestement pas hérité).
Sans parler de sa maîtrise incontestée du bricolage, dont je me suis empressée de prendre quelques notes, du genre :

- comment je remonte un chauffe-eau en 10 leçons,
- refaire le joint de la salle de bain en 3 minutes,
- euh, ça ressemble à quoi exactement une clé à mollettes ?
- la différence entre un clou et une vis (très très blonde),
- et hop on intervertit les portes pour gagner un peu d'espace, etc !

Un grand moment.
Mes cartons sont tous prêts et au rez-de-chaussée, je fais des pompes tous les soirs pour pouvoir les lever moi-même le jour J. J’ai même fait un essai hier pour voir un peu de quoi je suis capable. Résultat : le dos en compote, des courbatures inédites et la découverte de muscles dont j’ignorais complètement l’existence, mais qui pourraient peut-être resservir un jour ?
Et pourtant, pourtant, tout ce que je retiens de tout ça, c’est du pur bonheur :

- L’aboutissement de quelques mois de galère,
- Voir ses parents et sa famille tellement investis pour aider leur fille/sœur/petite-fille, c’est touchant,
- Sans parler des amis, toujours là pour filer un coup de main !

Bref, avoir son chez soi, ça n’a pas de prix !!!


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Cherchez Bridget

Ma photo
Je suis une femme. Et ouais, plus de « Hé Mademoiselle » qui traîne : à 30 ans, je suis passée du côté obscur de la force. Je suis blonde. Oui, oui, une vraie, à l’état naturel. Avec tout ce que ça comporte comme préjugés. Ma meilleure défense et en même temps mon meilleur plan d’attaque : le classique : « hum, c’est mon côté blonde », valable en toutes circonstances, avec en option le doigt sur la bouche pour le côté naïve-coquine-irrésistible. Pour le meilleur et pour le pire. Parce qu’il faut souffrir pour être blonde, ça se travaille et ça s’entretient Madame, j’vous le dis moi. Je suis célibataire. Un peu. Souvent. De façon récurrente. TOUJOURS. TOUT LE TEMPS ! Ok, ok, je suis un cas désespéré. Je suis drôle bien sûr. Et j’assume. BREF, JE SUIS BRIDGET ! Quand j’ai commencé à écrire ce blog, j’avais simplement envie de partager mes mots et mes maux, comme une thérapie. Maintenant, c’est BEAUCOUP plus que ça : c’est mon petit coin de paradis, c’est mon grand plaisir, c’est ma fierté. Alors « come on in » : ris, pleure, râle, aime-moi, insulte-moi, mais surtout, surtout : amuse-toi autant que moi !!!