Hé ouais, ça vous en bouche un coin, hein ?
Je sais ce que vous vous dites : a y est, l’homme mille-feuille s’est jeté à l’eau ! Je vais vous décevoir mais non. Absolument aucune nouvelle. Encore un qui n’assume pas : un pas en avant, deux pas en arrière Je connais, j’ai déjà donné, merci.
Je ne vais pas m’enfermer chez moi le temps que Monsieur se décide, j’ai d’autres problématiques à régler avec moi-même, du genre qui ne peuvent pas attendre.
Là commence la partie philosophique de mon récit : cher lecteur, accroche-toi.
Il n’y a pas d’âge pour apprendre. Pas d’âge pour comprendre qu’on se goure depuis trop longtemps.
Ce que je cherche ? L’homme de ma vie.
C’est bien beau mais ça vient pas. Pourquoi ? Parce que je ne cesse de m’enfermer dans des critères à la con. Parce que je ne laisse PERSONNE m’approcher. Je répète : PERSONNE. Je ne me laisse pas draguer, je fuis toute tentative d’approche. Je préfère garder le contrôle et choisir moi-même l’élu. Sauf que force est de constater que je choisis mal. Très mal.
J’ai donc pris une grande décision : je vais m’ouvrir, laisser entrevoir une partie de moi-même que je cache depuis trop longtemps. Je vais me mettre à nu et prendre des risques.
Quels risques ?
Celui de me planter, mais aussi celui de me laisser surprendre.
Celui de perdre le contrôle, mais aussi celui de lâcher prise.
Celui d’aimer, mais aussi celui de souffrir et/ou de faire souffrir.
C’est donc dans ce contexte de grande introspection que j’ai osé relancer un garçon que je connais depuis… un peu plus de 2 ans je crois. Dont j’ai déjà parlé ici, et pas forcément en bien. Vous savez ce qui se dit : « Il n’y a que les cons qui ne changent pas d’avis ». Voilà un adage qui colle parfaitement à la situation.
Je l’ai repoussé un certain nombre de fois, c’est donc en marchant sur des œufs que je lui ai envoyé un texto cette semaine – en surfant sur une vieille excuse de derrière les fagots. Il m’en tient peut-être rigueur – je le comprendrais – mais il a pourtant répondu rapidement. De fil en aiguille, nous voilà prêts pour un double RDV : Helmut Newton au Grand Palais cet aprèm et un ciné mardi. Grande classe.
Dans quel état d’esprit je suis à H-6 ?
Ben un peu stressée en fait. Et en même temps j’ai hâte… L’avantage étant que j’ai organisé un brunch OVS à 12H donc quoi qu’il en soit, l’heure n’est plus à la parlotte mais à l’action !
Je sais ce que vous vous dites : a y est, l’homme mille-feuille s’est jeté à l’eau ! Je vais vous décevoir mais non. Absolument aucune nouvelle. Encore un qui n’assume pas : un pas en avant, deux pas en arrière Je connais, j’ai déjà donné, merci.
Je ne vais pas m’enfermer chez moi le temps que Monsieur se décide, j’ai d’autres problématiques à régler avec moi-même, du genre qui ne peuvent pas attendre.
Là commence la partie philosophique de mon récit : cher lecteur, accroche-toi.
Il n’y a pas d’âge pour apprendre. Pas d’âge pour comprendre qu’on se goure depuis trop longtemps.
Ce que je cherche ? L’homme de ma vie.
C’est bien beau mais ça vient pas. Pourquoi ? Parce que je ne cesse de m’enfermer dans des critères à la con. Parce que je ne laisse PERSONNE m’approcher. Je répète : PERSONNE. Je ne me laisse pas draguer, je fuis toute tentative d’approche. Je préfère garder le contrôle et choisir moi-même l’élu. Sauf que force est de constater que je choisis mal. Très mal.
J’ai donc pris une grande décision : je vais m’ouvrir, laisser entrevoir une partie de moi-même que je cache depuis trop longtemps. Je vais me mettre à nu et prendre des risques.
Quels risques ?
Celui de me planter, mais aussi celui de me laisser surprendre.
Celui de perdre le contrôle, mais aussi celui de lâcher prise.
Celui d’aimer, mais aussi celui de souffrir et/ou de faire souffrir.
C’est donc dans ce contexte de grande introspection que j’ai osé relancer un garçon que je connais depuis… un peu plus de 2 ans je crois. Dont j’ai déjà parlé ici, et pas forcément en bien. Vous savez ce qui se dit : « Il n’y a que les cons qui ne changent pas d’avis ». Voilà un adage qui colle parfaitement à la situation.
Je l’ai repoussé un certain nombre de fois, c’est donc en marchant sur des œufs que je lui ai envoyé un texto cette semaine – en surfant sur une vieille excuse de derrière les fagots. Il m’en tient peut-être rigueur – je le comprendrais – mais il a pourtant répondu rapidement. De fil en aiguille, nous voilà prêts pour un double RDV : Helmut Newton au Grand Palais cet aprèm et un ciné mardi. Grande classe.
Dans quel état d’esprit je suis à H-6 ?
Ben un peu stressée en fait. Et en même temps j’ai hâte… L’avantage étant que j’ai organisé un brunch OVS à 12H donc quoi qu’il en soit, l’heure n’est plus à la parlotte mais à l’action !
Remember ? On n'a qu'une vie !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire