dimanche 29 avril 2012

I’ve got a date !


Hé ouais, ça vous en bouche un coin, hein ?
Je sais ce que vous vous dites : a y est, l’homme mille-feuille s’est jeté à l’eau ! Je vais vous décevoir mais non. Absolument aucune nouvelle. Encore un qui n’assume pas : un pas en avant, deux pas en arrière Je connais, j’ai déjà donné, merci.
Je ne vais pas m’enfermer chez moi le temps que Monsieur se décide, j’ai d’autres problématiques à régler avec moi-même, du genre qui ne peuvent pas attendre.

Là commence la partie philosophique de mon récit : cher lecteur, accroche-toi.
Il n’y a pas d’âge pour apprendre. Pas d’âge pour comprendre qu’on se goure depuis trop longtemps.
Ce que je cherche ? L’homme de ma vie.
C’est bien beau mais ça vient pas. Pourquoi ? Parce que je ne cesse de m’enfermer dans des critères à la con. Parce que je ne laisse PERSONNE m’approcher. Je répète : PERSONNE. Je ne me laisse pas draguer, je fuis toute tentative d’approche. Je préfère garder le contrôle et choisir moi-même l’élu. Sauf que force est de constater que je choisis mal. Très mal.
J’ai donc pris une grande décision : je vais m’ouvrir, laisser entrevoir une partie de moi-même que je cache depuis trop longtemps. Je vais me mettre à nu et prendre des risques.
Quels risques ?
Celui de me planter, mais aussi celui de me laisser surprendre.
Celui de perdre le contrôle, mais aussi celui de lâcher prise.
Celui d’aimer, mais aussi celui de souffrir et/ou de faire souffrir.

C’est donc dans ce contexte de grande introspection que j’ai osé relancer un garçon que je connais depuis… un peu plus de 2 ans je crois. Dont j’ai déjà parlé ici, et pas forcément en bien. Vous savez ce qui se dit : « Il n’y a que les cons qui ne changent pas d’avis ». Voilà un adage qui colle parfaitement à la situation.
Je l’ai repoussé un certain nombre de fois, c’est donc en marchant sur des œufs que je lui ai envoyé un texto cette semaine – en surfant sur une vieille excuse de derrière les fagots. Il m’en tient peut-être rigueur – je le comprendrais – mais il a pourtant répondu rapidement. De fil en aiguille, nous voilà prêts pour un double RDV : Helmut Newton au Grand Palais cet aprèm et un ciné mardi. Grande classe.

Dans quel état d’esprit je suis à H-6 ?
Ben un peu stressée en fait. Et en même temps j’ai hâte… L’avantage étant que j’ai organisé un brunch OVS à 12H donc quoi qu’il en soit, l’heure n’est plus à la parlotte mais à l’action !
Remember ? On n'a qu'une vie !

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Cherchez Bridget

Ma photo
Je suis une femme. Et ouais, plus de « Hé Mademoiselle » qui traîne : à 30 ans, je suis passée du côté obscur de la force. Je suis blonde. Oui, oui, une vraie, à l’état naturel. Avec tout ce que ça comporte comme préjugés. Ma meilleure défense et en même temps mon meilleur plan d’attaque : le classique : « hum, c’est mon côté blonde », valable en toutes circonstances, avec en option le doigt sur la bouche pour le côté naïve-coquine-irrésistible. Pour le meilleur et pour le pire. Parce qu’il faut souffrir pour être blonde, ça se travaille et ça s’entretient Madame, j’vous le dis moi. Je suis célibataire. Un peu. Souvent. De façon récurrente. TOUJOURS. TOUT LE TEMPS ! Ok, ok, je suis un cas désespéré. Je suis drôle bien sûr. Et j’assume. BREF, JE SUIS BRIDGET ! Quand j’ai commencé à écrire ce blog, j’avais simplement envie de partager mes mots et mes maux, comme une thérapie. Maintenant, c’est BEAUCOUP plus que ça : c’est mon petit coin de paradis, c’est mon grand plaisir, c’est ma fierté. Alors « come on in » : ris, pleure, râle, aime-moi, insulte-moi, mais surtout, surtout : amuse-toi autant que moi !!!