3 semaines… Ça fait 3 semaines que je suis rentrée et j’ai TANT de
choses à vous raconter !
Bon d’abord, je n’ai pas encore écrit le récit de nos aventures
thaïlandaises parce que :
1. J’attendais les photos pour égayer mon discours.
2. Je
n’ai pas envie de vous faire un récap’ jour pour jour, mais plutôt de regrouper
mes souvenirs par grands thèmes, ce qui me prend forcément plus de temps
puisque ce n’est pas du recopiage pur et dur de mon carnet de voyages.
3. Je n’ai pas pris le temps de le faire, je n’arrête
pas.
(C’est tellement facile d’avoir des excuses quand on écrit pour son
propre compte.)
Ce que je veux dire par là, c’est encore un peu de patience, ça vient !
Depuis mon retour :
- J’ai repris les sorties OVS. J’ai même organisé un brunch ce dimanche.
J’ai participé à un enterrement de vie de jeune fille. J’ai beaucoup,
beaucoup bu, et me suis couchée à 7H44 après avoir fait l’ouverture ET la
fermeture du Globo.
J’ai passé un week-end dans la Drôme/l’Ardèche pour le mariage de
cette amie. Fabuleux moment by the way. Zéro chope en revanche.
J’ai eu une promotion inattendue.
J’ai repris la Gym Suédoise.
J’ai eu une proposition pour aller boire un verre, et une autre pour
aller dîner… De 2 garçons différents !
Et voilà, je vous propose de faire un arrêt sur ce tout dernier petit
minuscule point ;-)
Le verre :
Fabrice, l’homme geek d’OVS, ne lâche rien. Premier inscrit à ma
sortie brunch, il en profite pour me demander (par texto) comment étaient mes
vacances. De fil en aiguille, il finit par me dire que si un soir je veux aller
boire un verre, je ne dois pas hésiter à l’appeler.
Bon à savoir pour la suite :
Fabrice est très gentil, il écoute, il est drôle MAIS (parce qu’il y a trop
souvent un « mais ») il ne me plaît pas.
Il y a quelques jours, j’aurais dit non. Et pourtant, tout arrive et
je crois que je vais en effet aller boire un verre avec lui très prochainement.
Pourquoi ? Parce qu’on
ne sait jamais. Parce que je vais passer un bon moment. Parce que la vie est
trop courte. Parce que je ne risque rien. Parce que je lui plais, qu’il l’assume
et qu’il me le fait savoir. Et parce qu’il va m’inviter bien sûr !
Le dîner :
Ludo, l’homme millefeuille d’OVS, se lance ENFIN ! Youhou !!!
Il ne peut pas venir au brunch dimanche parce qu’il garde ses filles, ce qui
nous a valu un premier échange de mails rapide.
C’est là où je me suis résolue à affronter la
réalité : l’homme millefeuille s’en tape de ma gueule. Et c’est en partant
de ce raisonnement ma foi bien primaire que j’ai décidé… d’arrêter de ramer et
de laisser tomber.
Je n’ai donc pas répondu à son dernier mail et puis l’air de rien,
pouf, venu de nulle part, il m’apprend qu’il ouvre son restau jeudi (jeudi
dernier donc). Je le félicite bien sûr et lui glisse qu’on devrait fêter ça – 3
petits points. (Ah les fatidiques 3 petits points qui veulent tout dire…)
Bon, ok, ok, j’avais dit que je laissais
tomber mais bon, you know me.
Bref. Il me répond tout aussi platement qu’à son habitude que oui, on
devrait fêter ça (sans petits points).
C’est là où je me suis résolue à affronter la
réalité : l’homme millefeuille s’en tape de ma gueule. Et c’est en partant
de ce raisonnement ma foi bien primaire que j’ai décidé… d’arrêter de ramer et
de laisser tomber.
Forte de ce postulat, je n’ai pas répondu. Mais j’ai renvoyé un
message le jeudi en lui souhaitant bon courage. En tout bien tout honneur.
Bon, ok, ok, j’avais dit que je laissais
tomber mais bon, you know me.
Réponse le soir-même : ouverture repoussée à lundi (hier donc)
mais il se disait que ce serait sympa de faire une « bouffe un de ces
quatre» pour que je lui raconte mes vacances.
Yala ! J’ai relu le mail 53 fois, dansé dans mon bureau, soulé
mes pauvres petites stagiaires, chanté du Nicki Minaj « Turn me on, turn
me on… », remué mon popotin en riant. Classe.
Et puis j’ai répondu un très sobre : « Avec plaisir. »
en proposant demain (samedi donc puisqu’on était vendredi). Je n’ai pas eu de
réponse du week-end, mais je n’ai pas paniqué parce que grâce au site OVS, je
peux à la fois savoir si la personne a lu mon message (ce qui n’était pas le
cas) et je peux également rappeler le message s’il n’a pas été lu.
C’est ce que j’ai décidé de faire dimanche en changeant mon fusil d’épaule :
je comprends qu’avec l’ouverture du millefeuille concept, il était overbooké…
Pauv’ chou. Qu’il me fasse signe quand il était libre.
Et hop ! Depuis, ben… J’attends ! Mais j’ai hâte.
Pourquoi ? Parce qu’on
ne sait jamais. Parce que je vais passer un bon moment. Parce que la vie est
trop courte. Parce que je ne risque rien. Parce que je lui plais (un peu ?), qu’il l’assume (pas beaucoup !) et qu’il me le fait
savoir (ou pas). Et parce qu’il va m’inviter
bien sûr !
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