mardi 24 avril 2012

3 semaines… Le récap’


3 semaines… Ça fait 3 semaines que je suis rentrée et j’ai TANT de choses à vous raconter !

Bon d’abord, je n’ai pas encore écrit le récit de nos aventures thaïlandaises parce que :
1. J’attendais les photos pour égayer mon discours.
2.  Je n’ai pas envie de vous faire un récap’ jour pour jour, mais plutôt de regrouper mes souvenirs par grands thèmes, ce qui me prend forcément plus de temps puisque ce n’est pas du recopiage pur et dur de mon carnet de voyages.
3.  Je n’ai pas pris le temps de le faire, je n’arrête pas.
(C’est tellement facile d’avoir des excuses quand on écrit pour son propre compte.)
Ce que je veux dire par là, c’est encore un peu de patience, ça vient !

Depuis mon retour :
-         J’ai repris les sorties OVS. J’ai même organisé un brunch ce dimanche.
J’ai participé à un enterrement de vie de jeune fille. J’ai beaucoup, beaucoup bu, et me suis couchée à 7H44 après avoir fait l’ouverture ET la fermeture du Globo.
J’ai passé un week-end dans la Drôme/l’Ardèche pour le mariage de cette amie. Fabuleux moment by the way. Zéro chope en revanche.
J’ai eu une promotion inattendue.
J’ai repris la Gym Suédoise.
J’ai eu une proposition pour aller boire un verre, et une autre pour aller dîner… De 2 garçons différents !

Et voilà, je vous propose de faire un arrêt sur ce tout dernier petit minuscule point ;-)

Le verre :
Fabrice, l’homme geek d’OVS, ne lâche rien. Premier inscrit à ma sortie brunch, il en profite pour me demander (par texto) comment étaient mes vacances. De fil en aiguille, il finit par me dire que si un soir je veux aller boire un verre, je ne dois pas hésiter à l’appeler.
Bon à savoir pour la suite : Fabrice est très gentil, il écoute, il est drôle MAIS (parce qu’il y a trop souvent un « mais ») il ne me plaît pas.
Il y a quelques jours, j’aurais dit non. Et pourtant, tout arrive et je crois que je vais en effet aller boire un verre avec lui très prochainement.
Pourquoi ? Parce qu’on ne sait jamais. Parce que je vais passer un bon moment. Parce que la vie est trop courte. Parce que je ne risque rien. Parce que je lui plais, qu’il l’assume et qu’il me le fait savoir. Et parce qu’il va m’inviter bien sûr !

Le dîner :
Ludo, l’homme millefeuille d’OVS, se lance ENFIN ! Youhou !!! Il ne peut pas venir au brunch dimanche parce qu’il garde ses filles, ce qui nous a valu un premier échange de mails rapide.
C’est là où je me suis résolue à affronter la réalité : l’homme millefeuille s’en tape de ma gueule. Et c’est en partant de ce raisonnement ma foi bien primaire que j’ai décidé… d’arrêter de ramer et de laisser tomber.
Je n’ai donc pas répondu à son dernier mail et puis l’air de rien, pouf, venu de nulle part, il m’apprend qu’il ouvre son restau jeudi (jeudi dernier donc). Je le félicite bien sûr et lui glisse qu’on devrait fêter ça – 3 petits points. (Ah les fatidiques 3 petits points qui veulent tout dire…)
Bon, ok, ok, j’avais dit que je laissais tomber mais bon, you know me.
Bref. Il me répond tout aussi platement qu’à son habitude que oui, on devrait fêter ça (sans petits points).
C’est là où je me suis résolue à affronter la réalité : l’homme millefeuille s’en tape de ma gueule. Et c’est en partant de ce raisonnement ma foi bien primaire que j’ai décidé… d’arrêter de ramer et de laisser tomber.
Forte de ce postulat, je n’ai pas répondu. Mais j’ai renvoyé un message le jeudi en lui souhaitant bon courage. En tout bien tout honneur.
Bon, ok, ok, j’avais dit que je laissais tomber mais bon, you know me.
Réponse le soir-même : ouverture repoussée à lundi (hier donc) mais il se disait que ce serait sympa de faire une « bouffe un de ces quatre» pour que je lui raconte mes vacances.
Yala ! J’ai relu le mail 53 fois, dansé dans mon bureau, soulé mes pauvres petites stagiaires, chanté du Nicki Minaj « Turn me on, turn me on… », remué mon popotin en riant. Classe.
Et puis j’ai répondu un très sobre : « Avec plaisir. » en proposant demain (samedi donc puisqu’on était vendredi). Je n’ai pas eu de réponse du week-end, mais je n’ai pas paniqué parce que grâce au site OVS, je peux à la fois savoir si la personne a lu mon message (ce qui n’était pas le cas) et je peux également rappeler le message s’il n’a pas été lu.
C’est ce que j’ai décidé de faire dimanche en changeant mon fusil d’épaule : je comprends qu’avec l’ouverture du millefeuille concept, il était overbooké… Pauv’ chou. Qu’il me fasse signe quand il était libre.
Et hop ! Depuis, ben… J’attends ! Mais j’ai hâte.
Pourquoi ? Parce qu’on ne sait jamais. Parce que je vais passer un bon moment. Parce que la vie est trop courte. Parce que je ne risque rien. Parce que je lui plais (un peu ?), qu’il l’assume (pas beaucoup !) et qu’il me le fait savoir (ou pas). Et parce qu’il va m’inviter bien sûr !

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Cherchez Bridget

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Je suis une femme. Et ouais, plus de « Hé Mademoiselle » qui traîne : à 30 ans, je suis passée du côté obscur de la force. Je suis blonde. Oui, oui, une vraie, à l’état naturel. Avec tout ce que ça comporte comme préjugés. Ma meilleure défense et en même temps mon meilleur plan d’attaque : le classique : « hum, c’est mon côté blonde », valable en toutes circonstances, avec en option le doigt sur la bouche pour le côté naïve-coquine-irrésistible. Pour le meilleur et pour le pire. Parce qu’il faut souffrir pour être blonde, ça se travaille et ça s’entretient Madame, j’vous le dis moi. Je suis célibataire. Un peu. Souvent. De façon récurrente. TOUJOURS. TOUT LE TEMPS ! Ok, ok, je suis un cas désespéré. Je suis drôle bien sûr. Et j’assume. BREF, JE SUIS BRIDGET ! Quand j’ai commencé à écrire ce blog, j’avais simplement envie de partager mes mots et mes maux, comme une thérapie. Maintenant, c’est BEAUCOUP plus que ça : c’est mon petit coin de paradis, c’est mon grand plaisir, c’est ma fierté. Alors « come on in » : ris, pleure, râle, aime-moi, insulte-moi, mais surtout, surtout : amuse-toi autant que moi !!!