vendredi 16 novembre 2012

Madrid – Samedi 3 novembre 2012.


Instantanés…
Etre suffisamment organisées pour avoir calé la visite des grands musées LE jour où il pleut.
Faire la queue 1 heure devant le mythique Prado et :
-Se prendre de réguliers coups de parapluie,
-Bénir les manteaux à capuche,
-Se rendre compte au bout de 45 minutes qu’il y avait une file plus rapide avec paiement en machine.
Apprécier le peu d’affluence et en profiter pour admirer d’autant plus longtemps les œuvres de Velázquez.
Se faire voler son capuccino par une touriste peu attentive.
Réaliser autour d’un capuccino tout neuf que Guernica est exposé au musée de la Reine Sofia et que… certes, ce n’est pas prévu… mais ce n’est pas loin…
Se dire qu’on s’en tape que ce ne soit pas prévu après tout !
Marcher. Marcher. Marcher. Parce que c’est beau de voir la ville s’éclairer.
Manger peu, mais boire beaucoup.
Rentrer à pied un peu « borracha » en hurlant des coquineries absolument scandaleuses, et voir Aurél littéralement pliée de rire.
Apprécier tous les moments passés ensemble, entre filles, entre amies, entre confidentes.

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Cherchez Bridget

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Je suis une femme. Et ouais, plus de « Hé Mademoiselle » qui traîne : à 30 ans, je suis passée du côté obscur de la force. Je suis blonde. Oui, oui, une vraie, à l’état naturel. Avec tout ce que ça comporte comme préjugés. Ma meilleure défense et en même temps mon meilleur plan d’attaque : le classique : « hum, c’est mon côté blonde », valable en toutes circonstances, avec en option le doigt sur la bouche pour le côté naïve-coquine-irrésistible. Pour le meilleur et pour le pire. Parce qu’il faut souffrir pour être blonde, ça se travaille et ça s’entretient Madame, j’vous le dis moi. Je suis célibataire. Un peu. Souvent. De façon récurrente. TOUJOURS. TOUT LE TEMPS ! Ok, ok, je suis un cas désespéré. Je suis drôle bien sûr. Et j’assume. BREF, JE SUIS BRIDGET ! Quand j’ai commencé à écrire ce blog, j’avais simplement envie de partager mes mots et mes maux, comme une thérapie. Maintenant, c’est BEAUCOUP plus que ça : c’est mon petit coin de paradis, c’est mon grand plaisir, c’est ma fierté. Alors « come on in » : ris, pleure, râle, aime-moi, insulte-moi, mais surtout, surtout : amuse-toi autant que moi !!!