mercredi 2 septembre 2009

It's over


Dans l’avion, dimanche, 14h20

Le temps passe définitivement trop vite en vacances ! Pour faire court, on n’a rien glandé de notre séjour, et je crois que ça nous allait bien.
La journée-type, c’était clairement :
- Réveil à 8h50,
- Réservation transats à la plage,
- Ptit-déj,
- Gros comas puis passage au bar pour le rituel cappuccino + bière (auquel je n’ai pas adhéré, mais chacun ses goûts),
- Retour à la plage,
- Déj au snack au bord de la piscine,
- Re-comas jusqu’au coucher du soleil,
- Retour à la chambre pour se préparer pour le soir. Et croyez-moi, ce n’était pas une sinécure pour mes camarades de chambrée qui ont vu défiler toutes mes tenues et ont assisté, immanquablement, à mes tergiversations existentielles (Quoi? J’ai de véritables problèmes de filles moi!),
- Apéro du genre enfilade de gin tonic,
- Dîner,
- Théâtre/papote autour de la piscine,
- Discothèque de minuit à 2h : 1ères sur la piste de danse, nous avons systématiquement fait la fermeture. De vraies dancing queens !!!

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Cherchez Bridget

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Je suis une femme. Et ouais, plus de « Hé Mademoiselle » qui traîne : à 30 ans, je suis passée du côté obscur de la force. Je suis blonde. Oui, oui, une vraie, à l’état naturel. Avec tout ce que ça comporte comme préjugés. Ma meilleure défense et en même temps mon meilleur plan d’attaque : le classique : « hum, c’est mon côté blonde », valable en toutes circonstances, avec en option le doigt sur la bouche pour le côté naïve-coquine-irrésistible. Pour le meilleur et pour le pire. Parce qu’il faut souffrir pour être blonde, ça se travaille et ça s’entretient Madame, j’vous le dis moi. Je suis célibataire. Un peu. Souvent. De façon récurrente. TOUJOURS. TOUT LE TEMPS ! Ok, ok, je suis un cas désespéré. Je suis drôle bien sûr. Et j’assume. BREF, JE SUIS BRIDGET ! Quand j’ai commencé à écrire ce blog, j’avais simplement envie de partager mes mots et mes maux, comme une thérapie. Maintenant, c’est BEAUCOUP plus que ça : c’est mon petit coin de paradis, c’est mon grand plaisir, c’est ma fierté. Alors « come on in » : ris, pleure, râle, aime-moi, insulte-moi, mais surtout, surtout : amuse-toi autant que moi !!!