Je m’allonge sur le fauteuil après 2H15 d’attente ( !!!). C’est l’heure du peeling. Du visage.
Je m’explique : après l’heure des spots en 2009 (cf posts précédents), l’objectif est de retrouver une peau de bébé en 2010, genre « t’as un teint de pêche ma pêche »…
Bref, la gentille dermatologue m’avait prévenue :
1. Ce ne sera pas remboursé. Ok, j’assume. Heureusement que je ne comptais pas sur ma prime de fin d’année pour prendre un abonnement avec elle ;-)
2. Vous serez un peu rouge en sortant.
UN PEU ROUGE ??? J’ai une tête à faire frissonner Freddy ! Et je lui conseille vivement de ne pas « sortir de la nuit », ou il va voir ce qu’il va voir. Et promis, juré, craché, je n’exagère pas. Tu prends un Pantonier, direction le P485C. Voilà, c’est moi ce soir.
Même elle, Mme la plus-du-tout-gentille dermato a peur. Je lui fait tellement pitié qu’elle me propose de me maquiller par là-dessus… Mouais, un peu mieux, j’avoue.
On dirait toujours le phare d’Alexandrie (oui, celui de « j’ai plus d’appétit, qu’un barracuda »), mais je vais peut-être quand même pouvoir prendre le bus. En me recouvrant le bas du visage de mon écharpe (rouge !) et les côtés avec mes (Dieu merci !) longs cheveux.
Elle me fait payer… Pas des philanthropes les médecins, c’est le moins que l’on puisse dire. Après ce qu’elle m’a infligé ! Tant pis, je fais chauffer le chéquier.
Lequel, malgré tout, reste plus frais que ma peau, que j’ai peur de voir partir en lambeaux. Ce soir, j’ai contribué au réchauffement de la planète, et j’en suis bien désolée.
Vous connaissez le vieil adage : il faut souffrir pour être belle ? Je vous le confirme. Et je ne suis même pas sûre du résultat !!! Sado-maso va.
Elle me rassure : le froid va me « décongestionner ». Tu parles. Je sors et rejoins l’arrêt de bus où attendent… 3 camions de pompiers lustrés comme des sous neufs (les camions, pas les pompiers ;-)). C’est bien ma veine décidément. Bon, ben tant pis, profil bas. Je regarde le bout de mes bottes pour me donner un peu de contenance.
Le bus arrive tout de suite. Magique. Je monte et reste à l’entrée pour me cacher au maximum. Je ne bouge pas. Le Monsieur à côté de moi pense que je suis une déséquilibrée et me propose de prendre sa place. Euh, non. Je bouge pas j’ai dit !
Ouf. Chez moi. Je vais tout de même éviter ce qui est décidément devenu mon pire cauchemar… les miroirs !
Je m’explique : après l’heure des spots en 2009 (cf posts précédents), l’objectif est de retrouver une peau de bébé en 2010, genre « t’as un teint de pêche ma pêche »…
Bref, la gentille dermatologue m’avait prévenue :
1. Ce ne sera pas remboursé. Ok, j’assume. Heureusement que je ne comptais pas sur ma prime de fin d’année pour prendre un abonnement avec elle ;-)
2. Vous serez un peu rouge en sortant.
UN PEU ROUGE ??? J’ai une tête à faire frissonner Freddy ! Et je lui conseille vivement de ne pas « sortir de la nuit », ou il va voir ce qu’il va voir. Et promis, juré, craché, je n’exagère pas. Tu prends un Pantonier, direction le P485C. Voilà, c’est moi ce soir.
Même elle, Mme la plus-du-tout-gentille dermato a peur. Je lui fait tellement pitié qu’elle me propose de me maquiller par là-dessus… Mouais, un peu mieux, j’avoue.
On dirait toujours le phare d’Alexandrie (oui, celui de « j’ai plus d’appétit, qu’un barracuda »), mais je vais peut-être quand même pouvoir prendre le bus. En me recouvrant le bas du visage de mon écharpe (rouge !) et les côtés avec mes (Dieu merci !) longs cheveux.
Elle me fait payer… Pas des philanthropes les médecins, c’est le moins que l’on puisse dire. Après ce qu’elle m’a infligé ! Tant pis, je fais chauffer le chéquier.
Lequel, malgré tout, reste plus frais que ma peau, que j’ai peur de voir partir en lambeaux. Ce soir, j’ai contribué au réchauffement de la planète, et j’en suis bien désolée.
Vous connaissez le vieil adage : il faut souffrir pour être belle ? Je vous le confirme. Et je ne suis même pas sûre du résultat !!! Sado-maso va.
Elle me rassure : le froid va me « décongestionner ». Tu parles. Je sors et rejoins l’arrêt de bus où attendent… 3 camions de pompiers lustrés comme des sous neufs (les camions, pas les pompiers ;-)). C’est bien ma veine décidément. Bon, ben tant pis, profil bas. Je regarde le bout de mes bottes pour me donner un peu de contenance.
Le bus arrive tout de suite. Magique. Je monte et reste à l’entrée pour me cacher au maximum. Je ne bouge pas. Le Monsieur à côté de moi pense que je suis une déséquilibrée et me propose de prendre sa place. Euh, non. Je bouge pas j’ai dit !
Ouf. Chez moi. Je vais tout de même éviter ce qui est décidément devenu mon pire cauchemar… les miroirs !