dimanche 5 décembre 2010

Du cash !

Bon évidemment je n’ai plus jamais eu de nouvelles de Mr Patate. Il avait répondu à mon texto de la dernière chance, mais le message me semblait bien clair et ne laissait pas entrevoir de « next step ». Bref, ça, s’est fait, et comme on dit chez moi : the show must go on.
Il n’empêche que cette histoire soulève une question de fond : pourquoi ne pas être plus cash ? Dans sa vie professionnelle et personnelle, est-ce que ce ne serait pas plus simple de dire les choses telles qu’elles sont et surtout telles que nous les ressentons ? Avec un seul bémol et une simple limite : ne pas blesser inutilement l’autre.
Bien sûr, j’aurais préféré entendre une phrase du genre :
« Samedi j’étais complètement bourré et en fait maintenant que je suis sobre, ben tu ne me plais pas en fait… »
Euh, ben non, on avait donné une limite, c’est le moment de sortir le carton rouge !

1 commentaire:

doudou a dit…

Si tu dis a tout le monde ce que tu ressens, y compris tes peines (donc tes faiblesses), la première personne qui te voudra du mal tapera dans tes faiblesses.

donc évite si tu ne veux pas finir en larmes le dimanche aprèm devant drucker.

Cherchez Bridget

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Je suis une femme. Et ouais, plus de « Hé Mademoiselle » qui traîne : à 30 ans, je suis passée du côté obscur de la force. Je suis blonde. Oui, oui, une vraie, à l’état naturel. Avec tout ce que ça comporte comme préjugés. Ma meilleure défense et en même temps mon meilleur plan d’attaque : le classique : « hum, c’est mon côté blonde », valable en toutes circonstances, avec en option le doigt sur la bouche pour le côté naïve-coquine-irrésistible. Pour le meilleur et pour le pire. Parce qu’il faut souffrir pour être blonde, ça se travaille et ça s’entretient Madame, j’vous le dis moi. Je suis célibataire. Un peu. Souvent. De façon récurrente. TOUJOURS. TOUT LE TEMPS ! Ok, ok, je suis un cas désespéré. Je suis drôle bien sûr. Et j’assume. BREF, JE SUIS BRIDGET ! Quand j’ai commencé à écrire ce blog, j’avais simplement envie de partager mes mots et mes maux, comme une thérapie. Maintenant, c’est BEAUCOUP plus que ça : c’est mon petit coin de paradis, c’est mon grand plaisir, c’est ma fierté. Alors « come on in » : ris, pleure, râle, aime-moi, insulte-moi, mais surtout, surtout : amuse-toi autant que moi !!!