samedi 27 octobre 2012

30 + 1 raisons d’avoir la grosse patate !

31 ans. Je les ai atteints hier. Mon humeur première n’était pas à la fête, je le confesse. Je n’avais pas particulièrement envie d’être au cœur de l’attraction.
Et pourtant… Cette journée n’a été qu’une occasion de plus de constater à quel point j’étais entourée. Pas simplement entourée, non. BIEN entourée. SINCÈREMENT entourée. Et ça change tout.

Voici en 30 & 1 points un hommage à celles & ceux qui ont fait de ce vendredi une journée si spéciale, inoubliable, extraordinaire :
  • Un texto chaud d’un mec rencontré sur OVS : « Un jour particulier pour une femme exceptionnelle, pleine de vie et de bonne humeur. [..] Passe une belle et agréable journée. »
  • Quatre cartes reçues dans ma boîte aux lettres, dont l’une en provenance du Canada.
  • Sur du joli papier spécial Halloween, un émouvant message qui m’a vraiment, vraiment touchée. Au plus profond de moi.
  • Un petit-déj en équipe, avec mes collègues adorés qui ne m’oublient jamais.
  • Grâce à eux, je vais pouvoir siroter du bon et beau thé Kusmi. Yummy.
  • Des joyeux anniversaires chantés.
  • Des joyeux anniversaires internationaux : le Canada, la Nouvelle-Zélande, Curacao, l’Espagne, le Wisconsin, New-York… et même Mâcon ! :-)
  • Personne ne m’a oubliée. Personne.
  • Un moment privilégié avec un petit bonhomme que j’aime plus que tout : mon petit filleul.
  • Son sourire quand il m’a vu arriver chez sa nounou.
  • La confiance de ses parents qui m’ont fait le plus beau cadeau qui soit.
  • Mon boss, qui m’a laissé prendre la voiture pour être à l’heure chez la nounou.
  • Un magnifique bouquet de roses de mes amies adorées, qui m’attendait sur mon bureau au retour du déjeuner…
  • …Accompagné d’un petit mot d’amour que je garde précieusement. Sur mon frigo et dans mon cœur.
  • Le champagne, le petit blanc, le saké et la grappa. Dans cet ordre.
  • Des personnes qui se sont manifestées alors que je pensais même pas qu’elles puissent connaître ma date de naissance : des amies d’enfance, d’anciens collègues…
  • Une soirée avec ma famille d’adoption, pleine d’amour, de rires et de bonne humeur.
  • D’attentions adorables et de surprises.
  • De gourmandise et de cadeaux-bijoux sublimes.
  • Sans parler des seins en ballons de baudruche et du turban-torchon. Une sacrée histoire.
  • Mes petits stagiaires qui étaient allés chercher un bouquet rouge dès le début de la journée. Merci Kikouyette, merci Kikouyou !
  • Des messages OVS de garçons que je ne connais pas. Mais qui ont succombé au charme de l’âge semble-t-il :-)
  • Un déjeuner entre collègues dans ma brasserie préférée.
  • De nombreux bisous (chastes, hein).
  • Une carte d’anniversaire de moi & moi en sous-vêtements… en cuir et strass, avec casquette assortie, talons de 15 cm, cheveux aux bas des reins et… menottes.
  • Un dessin et un message de mes petits cousins.
  • Mes clients, qui m’ont laissé tranquillement profiter de cette journée, sans harcèlement ni cri, sans agression ni urgence.
  • Ma boss et son cadeau en forme de pochette surprise de la Française des Jeux.
  • Vous tous, lectrices et lecteurs fidèles. Parce que ce blog est ma fierté. Je sais, je me répète. Mais je m’en fous.
  • Vous tous, qui avez pensé à moi hier.
  • Une surprise qui m’a fait pleurer : un anniversaire où Bridget ne verse pas sa petite larme n’est pas un anniversaire complètement réussi !

Pour tout ça, et plus encore, j’ai envie de vous dire un grand MERCI… 30 + 1 fois !!!

Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci.

jeudi 25 octobre 2012

« Le destin mêle les cartes et nous jouons. » (Arthur Schopenhauer)

Ah, fucking destin. J’aurais bien tendance à t’oublier, mais non, tu me rattrapes inéluctablement.

Vendredi. Alors que David Guetta résonne dans mes oreilles, je me dis que c’est cool d’avoir le temps, de ne pas courir pour choper mon TGV. Petit coup d’œil automatique vers l’horloge : tout va bien, il n’est que 17H37 et mon train démarre à 17H… 43 !!! 
Oh p***** de m**** f*** ch*** sa r*** !!! 
Je passe la seconde, je dois encore traverser toute la gare de Lyon avant de jumper dans le wagon… bien sûr le dernier de la rame, c’est tellement plus drôle.

J’y suis enfin. Ouf ! Direction Aix maintenant, un week-end entre filles : sœur + meilleure amie + papouilles aux termes Sextius + maudire la gente masculine en sirotant des petits ballons en terrasse = j’ai hâte !!!
Je crois que je mérite de m’octroyer une pause sieste, amplement méritée compte tenu des circonstances. Je m’installe confortablement dans mon fauteuil en me félicitant de m’être offert un billet en 1ère.

C’est précisément à ce moment-là que je le vois passer dans l’allée, à côté de moi. Qui ça ? Non, franchement vous allez rire. Allez, vous voulez vraiment le savoir ? Vraiment, vraiment ? J’aime bien cet effet teasing.
Qui ça ? Mon ex ! THE ex : T. ! Celui-là même qui m’a brisé le cœur il y a tellement longtemps déjà.

Je ne me pose même pas la question de savoir si je suis bien coiffée, si j’ai un reste de sandwich au thon entre les incisives, ou si je porte la montre qu’il m’a offerte (et pourtant, oh non, je la porte !!!). Ça alors, mais que se passe-t-il ??? Je ne suis plus moi-même. Je vais le rejoindre pour que nous fassions le trajet ensemble.
Juste pour le plaisir, sachez qu’un aller Paris-Aix en Provence TGV, c’est 3 heures (ah oui, quand même). Alors que je m’apprête à passer un super week-end meufs, il s’apprête à rejoindre la sienne, de meuf.

Comme si j’avais besoin de ça ! Pour faire court (ou pas !) :
- Ma famille est en train d’imploser.
- Je ne dors plus depuis un certain nombre de nuits.
- Je sors d’une pharyngite-trachéite qui m’a mise à plat.
- J’ai entamé un boulot monstrueux à torcher la semaine pro.
- J’ai une boule de stress permanente dans l’estomac.
- Mes cheveux frisent (la faute à cette putain d’humidité).
- Mes amies me manquent.
- J’ai le visage autant ravagé par l’acné qu’à 12 ans.
- Et ma vie sentimentale et sexuelle est – c’est quoi le terme exact ? – ah oui ! – inexistante.

Au programme : petit tour d’horizon de nos vies respectives et de celles de nos proches.
Ok, je relativise, c’est sympa de pouvoir se parler sans se hurler dessus et/ou pleurer.
Exit la sieste réparatrice, je me dis qu’en plus d’être l’homme que j’ai aimé pendant plus de 4 ans, il était aussi mon meilleur ami pendant toute cette période. Et l’eau a coulé sous les ponts. Sous nos deux ponts.
J’en ai envie – et désespérément besoin – alors je me livre : mes parents, les mecs passés et… à venir, on y va et on balance. Après tout, il me connaît (connaissait ?) bien, non ?
Il m’écoute, m’énerve, me donne des conseils drague, enfin, normal quoi.
Ben voilà, ça c’est fait. Ça me fait du bien. Il est nécessaire ici de préciser que je ne ressens rien. Rien de rien. Pour être honnête, je n’ai jamais rien éprouvé pour lui depuis la séparation, à aucune de nos rencontres.

La conclusion de tout cela ? Elle va vous plaire celle-là, je le sens : la conclusion de tout cela, c’est que tu le veuilles ou non, il y a des hommes qui font partie de ta vie. Ils sont là, ils s’invitent volontairement et régulièrement dans ton existence, ou laissent le destin se charger du boulot.

T. n’est pas le seul à vrai dire, il y en a un autre qui ressurgit de manière totalement inopinée : Mr Big. L’objet de mon prochain article, j’en ai bien peur ! Vous tiendrez jusque-là ?

PS : Ah décidément, j’adore le teasing aujourd’hui :-)

dimanche 21 octobre 2012

Mon ptit coin de bonheur

Je ne vous apprends rien, je ne parle plus que de ça : Voyons-Nous par ci, Voyons-Nous par là.
Bien que ce nouveau site de rencontres n’ait pas (encore !) changé ma vie sentimentale, il n’empêche que c’est mon petit coin de bonheur du moment.
Et pour cause : je ne vous avais rien dit jusque-là, mais les fondateurs du site ont décidé de me faire confiance (les dingues, z’ont pas peur !) pour rédiger une rubrique régulière dans leur magazine online http://www.voyonsnous.fr/magazine.
Le premier article est paru ce vendredi, événement relayé dans la Newsletter du site, et j’en suis très, très fière. 

Franchement, quoi de plus excitant qu’un nouveau challenge rédactionnel pour Bridget ? Quoi de plus excitant, franchement ? Ben en ce moment… Rien.

dimanche 7 octobre 2012

Toi & Moi

Nous ne sommes pas seuls. Et pourtant...
Pourtant, je n’entends que les battements de mon cœur, je ne sens que ton souffle dans ma nuque, je ne vois que toi.

Je suis seule. Et alors...
Alors, je rêve de sentir tes doigts sur ma peau, j’imagine tes lèvres caressant les miennes, je ne vois que toi.

Il n’y a rien ? Il y a moi...

Je te soutiens, je te guide, je t’apaise.
Je t’admire, je t’encourage, je t’écoute.
Je te provoque, je t’embrasse, je t’ensorcelle.
Je  te griffe, je te sens, je te veux.

Il n’y a rien ? Il y a toi...

Tu me comprends, tu me protèges, tu me rassures.
Tu me combles, tu me chéris, tu me portes.
Tu m’excites, tu m’étreins, tu me lèches.
Tu me désires, tu me mords, tu me prends.

Il n’y a rien ? Non, il n’y a rien. Rien que toi & moi. Rien que nous. Rien n’est impossible. 

Cherchez Bridget

Ma photo
Je suis une femme. Et ouais, plus de « Hé Mademoiselle » qui traîne : à 30 ans, je suis passée du côté obscur de la force. Je suis blonde. Oui, oui, une vraie, à l’état naturel. Avec tout ce que ça comporte comme préjugés. Ma meilleure défense et en même temps mon meilleur plan d’attaque : le classique : « hum, c’est mon côté blonde », valable en toutes circonstances, avec en option le doigt sur la bouche pour le côté naïve-coquine-irrésistible. Pour le meilleur et pour le pire. Parce qu’il faut souffrir pour être blonde, ça se travaille et ça s’entretient Madame, j’vous le dis moi. Je suis célibataire. Un peu. Souvent. De façon récurrente. TOUJOURS. TOUT LE TEMPS ! Ok, ok, je suis un cas désespéré. Je suis drôle bien sûr. Et j’assume. BREF, JE SUIS BRIDGET ! Quand j’ai commencé à écrire ce blog, j’avais simplement envie de partager mes mots et mes maux, comme une thérapie. Maintenant, c’est BEAUCOUP plus que ça : c’est mon petit coin de paradis, c’est mon grand plaisir, c’est ma fierté. Alors « come on in » : ris, pleure, râle, aime-moi, insulte-moi, mais surtout, surtout : amuse-toi autant que moi !!!