dimanche 7 octobre 2012

Toi & Moi

Nous ne sommes pas seuls. Et pourtant...
Pourtant, je n’entends que les battements de mon cœur, je ne sens que ton souffle dans ma nuque, je ne vois que toi.

Je suis seule. Et alors...
Alors, je rêve de sentir tes doigts sur ma peau, j’imagine tes lèvres caressant les miennes, je ne vois que toi.

Il n’y a rien ? Il y a moi...

Je te soutiens, je te guide, je t’apaise.
Je t’admire, je t’encourage, je t’écoute.
Je te provoque, je t’embrasse, je t’ensorcelle.
Je  te griffe, je te sens, je te veux.

Il n’y a rien ? Il y a toi...

Tu me comprends, tu me protèges, tu me rassures.
Tu me combles, tu me chéris, tu me portes.
Tu m’excites, tu m’étreins, tu me lèches.
Tu me désires, tu me mords, tu me prends.

Il n’y a rien ? Non, il n’y a rien. Rien que toi & moi. Rien que nous. Rien n’est impossible. 

2 commentaires:

Unknown a dit…

C'est peut-être après la lecture intégrale de ton blog, eh oui je n'ai pu m'en décrocher, le texte qui te révèle le plus...

Bridget a dit…

Cher Peter,

Désolée de ne te répondre que maintenant, je viens de rentrer, mais je découvre avec beaucoup de plaisir ton commentaire... Et je suis ravie que tu aimes le blog !

Question curiosité : pourquoi cet article en particulier ?

Très bonne soirée,

Bridget
ilfautsouffrirpouretreblonde@gmail.com

Cherchez Bridget

Ma photo
Je suis une femme. Et ouais, plus de « Hé Mademoiselle » qui traîne : à 30 ans, je suis passée du côté obscur de la force. Je suis blonde. Oui, oui, une vraie, à l’état naturel. Avec tout ce que ça comporte comme préjugés. Ma meilleure défense et en même temps mon meilleur plan d’attaque : le classique : « hum, c’est mon côté blonde », valable en toutes circonstances, avec en option le doigt sur la bouche pour le côté naïve-coquine-irrésistible. Pour le meilleur et pour le pire. Parce qu’il faut souffrir pour être blonde, ça se travaille et ça s’entretient Madame, j’vous le dis moi. Je suis célibataire. Un peu. Souvent. De façon récurrente. TOUJOURS. TOUT LE TEMPS ! Ok, ok, je suis un cas désespéré. Je suis drôle bien sûr. Et j’assume. BREF, JE SUIS BRIDGET ! Quand j’ai commencé à écrire ce blog, j’avais simplement envie de partager mes mots et mes maux, comme une thérapie. Maintenant, c’est BEAUCOUP plus que ça : c’est mon petit coin de paradis, c’est mon grand plaisir, c’est ma fierté. Alors « come on in » : ris, pleure, râle, aime-moi, insulte-moi, mais surtout, surtout : amuse-toi autant que moi !!!