Paris 10ème. Terrasse du célèbre Brébant. Je sirote mon second Cosmopolitan (est-ce le second ? est-ce bien un Cosmo ?). Un peu pompette, Bridget ?!
Il y a de quoi : avoir en face de moi l’homme objet de mes fantasmes depuis quelques années, ce n’est pas tous les jours. Encore moins quand c’est lui qui a appelé pour proposer un dîner. Intriguée (et excitée à cette idée ;-)) je n’ai pas pu refuser.
D’autant plus qu’en bon gentleman, il fait péter la CB l’animal, ce qui n’est pas pour me déplaire. J’aime bien ce côté old school. C’est ma facette vieille France.
Et voilà que je suis interloquée. J’ai en effet la sensation de découvrir quelqu’un de plus touchant et timide que ce que je pouvais ressentir via nos échanges professionnels. Moins trotskiste aussi (ouf de soulagement). Bref, je suis bluffée.
De mon côté rien à cacher ( ?!) mis à part l’existence de ce blog bien sûr ;-).
Nous nous quittons sur les coups de minuit. Moi essayant de marcher droit, lui bizarrement embarrassé… au moment de se dire au revoir de manière absolument chaste.
Alors quoi ? La petite blonde effrayerait-elle le vieux briscard ? Le monde à l’envers !
Confirmation obtenue le lendemain lorsqu’après lui avoir envoyé LE texto des classiques remerciements, Monsieur me rappelle pour s’excuser… de m’avoir laissé choir en fin de soirée. Sachez cher lecteur que ce n’était pas « dans ses intentions » (je cite). Du coup il faudrait que nous remettions ça « très vite » (Idem).
Ah ah, a bet ? Well, je vous expose ici mon dilemme :
1. Parfois, il vaut mieux que le fantasme reste de l’ordre du fantasme, au risque d’être déçue.
2. En tant que parfaite représentante féminine, je suis l’exemple même du paradoxe qui nous anime : une fois que nous avons (ENFIN !!!) obtenu ce que nous voulions si ardemment ( ;-) ) et bien non, nous n’en voulons tout simplement plus.
3. En même temps, admettez que ce serait bien dommage de gâcher une opportunité qui (ne nous voilons pas la face !) ne se présente pas tous les jours.
Je ne peux plus me permettre d’être exigeante anyway : la crise ne m’a pas épargnée comme je m’en doutais. Et tout ce que j’espère, c’est qu’après le plan de rigueur… le plan Q !!!
Il y a de quoi : avoir en face de moi l’homme objet de mes fantasmes depuis quelques années, ce n’est pas tous les jours. Encore moins quand c’est lui qui a appelé pour proposer un dîner. Intriguée (et excitée à cette idée ;-)) je n’ai pas pu refuser.
D’autant plus qu’en bon gentleman, il fait péter la CB l’animal, ce qui n’est pas pour me déplaire. J’aime bien ce côté old school. C’est ma facette vieille France.
Et voilà que je suis interloquée. J’ai en effet la sensation de découvrir quelqu’un de plus touchant et timide que ce que je pouvais ressentir via nos échanges professionnels. Moins trotskiste aussi (ouf de soulagement). Bref, je suis bluffée.
De mon côté rien à cacher ( ?!) mis à part l’existence de ce blog bien sûr ;-).
Nous nous quittons sur les coups de minuit. Moi essayant de marcher droit, lui bizarrement embarrassé… au moment de se dire au revoir de manière absolument chaste.
Alors quoi ? La petite blonde effrayerait-elle le vieux briscard ? Le monde à l’envers !
Confirmation obtenue le lendemain lorsqu’après lui avoir envoyé LE texto des classiques remerciements, Monsieur me rappelle pour s’excuser… de m’avoir laissé choir en fin de soirée. Sachez cher lecteur que ce n’était pas « dans ses intentions » (je cite). Du coup il faudrait que nous remettions ça « très vite » (Idem).
Ah ah, a bet ? Well, je vous expose ici mon dilemme :
1. Parfois, il vaut mieux que le fantasme reste de l’ordre du fantasme, au risque d’être déçue.
2. En tant que parfaite représentante féminine, je suis l’exemple même du paradoxe qui nous anime : une fois que nous avons (ENFIN !!!) obtenu ce que nous voulions si ardemment ( ;-) ) et bien non, nous n’en voulons tout simplement plus.
3. En même temps, admettez que ce serait bien dommage de gâcher une opportunité qui (ne nous voilons pas la face !) ne se présente pas tous les jours.
Je ne peux plus me permettre d’être exigeante anyway : la crise ne m’a pas épargnée comme je m’en doutais. Et tout ce que j’espère, c’est qu’après le plan de rigueur… le plan Q !!!
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