Il m’est arrivé un truc dingue hier. Dingue.
En rentrant chez moi, je croise un jeune homme dans le sens inverse qui finit par faire demi-tour et… me courir après pour venir m’aborder.
1er point qui traverse mon esprit : ça fait bien longtemps qu’un garçon ne m’a pas couru après. 2nd point : ah ben en fait, ça ne m’est même jamais arrivé. Gloups.
Mais que voulez-vous, il m’a trouvée « trop belle ». ( !!!???)
Présentations faites : D. est « coach ». Coach ? C’est-à-dire ? Coach en management pour grands magnats de la finance ? Coach en communication pour timides patentés ? Coach en développement personnel ?
Rien de tout cela. Non. D. est coach sportif. Et croyez-moi, ça se voit ! On sent le biscoto à fleur de T-shirt.
D . a l’air un tantinet mal à l’aise, et un peu en retard pour son cours. Du coup, il finit par me tendre sa carte. Classe, car en 2010, le coach sportif se fait imprimer ses propres cartes pro.
J’en prends plein les yeux : sur la face avant, un jeu d’altères aluminisés, tendance SM. Et en surimpression des mots doux à l’oreille : « Progression en douceur ». « Renforcement musculaire ». « 40€ par séance ». Moi qui viens de dire aujourd’hui même au médecin du travail que le sport est contre ma religion, je me retrouve une fois de plus face à mes contradictions.
Car il y a aussi sur cette carte son n° de portable ainsi que son adresse mail : d@devenir-sexy. Com ( !!!). Non ce n’est pas une blague.
Je m’interroge donc : D. est un beau produit puisque je pourrais à la fois sculpter mes abdos-fessiers et me faire masser… Tentant.
Et qui tombe bien : je suis dans ma période non pas on tente le tout pour le tout , mais plutôt on va de l’avant sans se fermer de portes.
Avec des choses qui mijotent sur le feu :
- T. : Rencontré sur Internet. Après quelques échanges, il me propose de lui chanter une berceuse. Mouais, moi j’aime bien voir avant d’entonner un air, quel qu’il soit. Et je lui ai donc proposé de boire un verre.
- P. : Un collègue d’ami. Rencontré à un dîner. Pas forcément mon style, mais néanmoins sympa et drôle, ce qui bien sûr ne gâche rien : femme qui rit, femme à moitié dans ton lit, encore faut-il avoir la bonne moitié. Alors on y va. D’autant plus qu’il vient de me proposer d’aller boire un verre. Et je vais accepter.
- J. : Mon freelance préféré. Et là, la balle est dans mon camp, et je ne vais pas tarder à tendre la perche, sans mauvais jeu de mot.
Bref, ça bouge pas mal. La température monte. Et je ne serais pas contre une petite canicule…
En rentrant chez moi, je croise un jeune homme dans le sens inverse qui finit par faire demi-tour et… me courir après pour venir m’aborder.
1er point qui traverse mon esprit : ça fait bien longtemps qu’un garçon ne m’a pas couru après. 2nd point : ah ben en fait, ça ne m’est même jamais arrivé. Gloups.
Mais que voulez-vous, il m’a trouvée « trop belle ». ( !!!???)
Présentations faites : D. est « coach ». Coach ? C’est-à-dire ? Coach en management pour grands magnats de la finance ? Coach en communication pour timides patentés ? Coach en développement personnel ?
Rien de tout cela. Non. D. est coach sportif. Et croyez-moi, ça se voit ! On sent le biscoto à fleur de T-shirt.
D . a l’air un tantinet mal à l’aise, et un peu en retard pour son cours. Du coup, il finit par me tendre sa carte. Classe, car en 2010, le coach sportif se fait imprimer ses propres cartes pro.
J’en prends plein les yeux : sur la face avant, un jeu d’altères aluminisés, tendance SM. Et en surimpression des mots doux à l’oreille : « Progression en douceur ». « Renforcement musculaire ». « 40€ par séance ». Moi qui viens de dire aujourd’hui même au médecin du travail que le sport est contre ma religion, je me retrouve une fois de plus face à mes contradictions.
Car il y a aussi sur cette carte son n° de portable ainsi que son adresse mail : d@devenir-sexy. Com ( !!!). Non ce n’est pas une blague.
Je m’interroge donc : D. est un beau produit puisque je pourrais à la fois sculpter mes abdos-fessiers et me faire masser… Tentant.
Et qui tombe bien : je suis dans ma période non pas on tente le tout pour le tout , mais plutôt on va de l’avant sans se fermer de portes.
Avec des choses qui mijotent sur le feu :
- T. : Rencontré sur Internet. Après quelques échanges, il me propose de lui chanter une berceuse. Mouais, moi j’aime bien voir avant d’entonner un air, quel qu’il soit. Et je lui ai donc proposé de boire un verre.
- P. : Un collègue d’ami. Rencontré à un dîner. Pas forcément mon style, mais néanmoins sympa et drôle, ce qui bien sûr ne gâche rien : femme qui rit, femme à moitié dans ton lit, encore faut-il avoir la bonne moitié. Alors on y va. D’autant plus qu’il vient de me proposer d’aller boire un verre. Et je vais accepter.
- J. : Mon freelance préféré. Et là, la balle est dans mon camp, et je ne vais pas tarder à tendre la perche, sans mauvais jeu de mot.
Bref, ça bouge pas mal. La température monte. Et je ne serais pas contre une petite canicule…
1 commentaire:
Mais dis-moi...? Tu n'as plus que l'embarras du choix !!! ;-)
Tu vas arriver à t'en sortir ? Hihihi !!!
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