Vous allez vous dire qu’après tout, c’est bien normal que je sois célibataire : je suis trop compliquée et trop difficile. Possible en effet.
Hier, « date » avec P.
Avant de nous retrouver et en toute logique, P. m’a demandé mon numéro de portable. Sauf qu’il m’a envoyé un texto dans la demi-seconde qui suivait. Pour me proposer de dîner après le verre et d’aller au bal des pompiers. Tout ça après m’avoir envoyé plusieurs mails. Puis il m’a poké sur Facebook.
Là, c’est la goutte de trop : un poke, c’est tellement 2008 ! J’ai donc dépoké illico presto.
Il faut savoir imposer ses limites sans tarder car P. s’emballe vite.
Donc : RDV à 19h30 qu’il repousse à 20h à cause d’une réunion. Finalement, il est sur place à 19h45 et j’arrive à 20h25. Je sais, je suis une garce.
Évidemment, un 13 juillet au soir, le Marais est bondé, et impossible de squatter un bout de table en terrasse. Nous buvons donc un verre en intérieur, et j’ai les fesses collées sur le skaï de la banquette parce qu’il fait à peu près 45°C dans le bar.
Bons points : il m’invite. Et glisse qu’il aime les enfants.
Mauvais points : il est vraiment petit, non ? Et vraiment chauve !
Je sais, je suis une garce. Plutôt deux fois qu’une.
Mais ce n’est pas le plus grave : je m’ennuie. Je fais la conversation pour éviter les blancs et finis par trouver une excuse pour m’éclipser.
Je rentre chez moi, je grignote et suis emmenée en Audi TT décapotable au feu d’artifice de ma ville. Classe certes.
1. Je sais que P. n’est pas l’homme de ma vie, mais au moins je le sais. Pas de regret donc. Je pensais néanmoins avoir été suffisamment « froide » pour qu’il comprenne, mais P. ne lâchera rien : je viens juste de recevoir un nouveau texto. Help !
2. Je comprends maintenant où passent mes impôts locaux.
3. J’ai la sensation d’être un enfant devant ce spectacle (j’adore les feux d’artifice) et je me dis qu’être là avec un ami qui compte tellement pour moi, ça vaut bien toutes les « dates » du monde.
Hier, « date » avec P.
Avant de nous retrouver et en toute logique, P. m’a demandé mon numéro de portable. Sauf qu’il m’a envoyé un texto dans la demi-seconde qui suivait. Pour me proposer de dîner après le verre et d’aller au bal des pompiers. Tout ça après m’avoir envoyé plusieurs mails. Puis il m’a poké sur Facebook.
Là, c’est la goutte de trop : un poke, c’est tellement 2008 ! J’ai donc dépoké illico presto.
Il faut savoir imposer ses limites sans tarder car P. s’emballe vite.
Donc : RDV à 19h30 qu’il repousse à 20h à cause d’une réunion. Finalement, il est sur place à 19h45 et j’arrive à 20h25. Je sais, je suis une garce.
Évidemment, un 13 juillet au soir, le Marais est bondé, et impossible de squatter un bout de table en terrasse. Nous buvons donc un verre en intérieur, et j’ai les fesses collées sur le skaï de la banquette parce qu’il fait à peu près 45°C dans le bar.
Bons points : il m’invite. Et glisse qu’il aime les enfants.
Mauvais points : il est vraiment petit, non ? Et vraiment chauve !
Je sais, je suis une garce. Plutôt deux fois qu’une.
Mais ce n’est pas le plus grave : je m’ennuie. Je fais la conversation pour éviter les blancs et finis par trouver une excuse pour m’éclipser.
Je rentre chez moi, je grignote et suis emmenée en Audi TT décapotable au feu d’artifice de ma ville. Classe certes.
1. Je sais que P. n’est pas l’homme de ma vie, mais au moins je le sais. Pas de regret donc. Je pensais néanmoins avoir été suffisamment « froide » pour qu’il comprenne, mais P. ne lâchera rien : je viens juste de recevoir un nouveau texto. Help !
2. Je comprends maintenant où passent mes impôts locaux.
3. J’ai la sensation d’être un enfant devant ce spectacle (j’adore les feux d’artifice) et je me dis qu’être là avec un ami qui compte tellement pour moi, ça vaut bien toutes les « dates » du monde.
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