Je le reconnais ouvertement et j’assume : oui, je suis une gourmande. J’aime manger, je ne résiste pas à la bonne chair, je me fais plaisir sans (trop) culpabiliser, j’adore cuisiner. Alors ce repas de Noël gastronomique au bureau, j’y fonce. Le principe est le suivant : chacun apporte une contribution, si possible fait-maison, au pire acheté, mais par pitié de la bonne came. Exit le sauciflard, les cahouètes et le gros rouge qui tache.
J’adhère au concept et concocte une terrine de saumon aux petits légumes. Une grande première.
Le moment venu, moi baver devant le buffet. Mes chers collègues adorés se sont surpassés : rillettes de saumon, bricks tièdes au foie gras, muffins poire/noix/roquefort, terrines de foie gras maison au Porto… Et je ne vous parle pas de la « farandole des desserts ». Orgasmique. Un grand moment de poésie à s’en lécher les babines. Voire les doigts. Je ne m’en suis pas privée d’ailleurs.
Arrosez tout cela de vin moelleux et de Vouvray… J’exulte !
Mon credo ? Le gras c’est la vie.
Variantes ? Avec du beurre, tout est meilleur. Mieux vaut faire envie que faire pitié…
Résultat ? Je suis physiquement moelleuse ;-)
Malgré tout, mon péché mignon absolu, le number one de mes moments de faiblesse : LE PAIN !!! Chaque ingrédient qui visite mon assiette est l’excuse rêvée pour me concocter un « mini-sandwich » : la charcuterie sous toutes ses formes, le saumon, les sardines, le tarama, la confiture, le chocolat, la banane… Quoi de meilleur qu’une tartine de pain frais au petite déj ? Avec du beurre et du (vrai) miel (des montagnes) ? Rien. On est bien d’accord.
Un amour qui me suis depuis ma plus tendre enfance, quand, en fin de repas, je réclamais à mes grands-parents mon dessert… Comprenez : DU PAIN !!!
Après tout, laissez tomber le Schtroumpf (cf mon billet précédent), je m’en vais draguer au choix :
1. Un grand chef.
2. Un boulanger.
3. Un homme sandwich.
J’adhère au concept et concocte une terrine de saumon aux petits légumes. Une grande première.
Le moment venu, moi baver devant le buffet. Mes chers collègues adorés se sont surpassés : rillettes de saumon, bricks tièdes au foie gras, muffins poire/noix/roquefort, terrines de foie gras maison au Porto… Et je ne vous parle pas de la « farandole des desserts ». Orgasmique. Un grand moment de poésie à s’en lécher les babines. Voire les doigts. Je ne m’en suis pas privée d’ailleurs.
Arrosez tout cela de vin moelleux et de Vouvray… J’exulte !
Mon credo ? Le gras c’est la vie.
Variantes ? Avec du beurre, tout est meilleur. Mieux vaut faire envie que faire pitié…
Résultat ? Je suis physiquement moelleuse ;-)
Malgré tout, mon péché mignon absolu, le number one de mes moments de faiblesse : LE PAIN !!! Chaque ingrédient qui visite mon assiette est l’excuse rêvée pour me concocter un « mini-sandwich » : la charcuterie sous toutes ses formes, le saumon, les sardines, le tarama, la confiture, le chocolat, la banane… Quoi de meilleur qu’une tartine de pain frais au petite déj ? Avec du beurre et du (vrai) miel (des montagnes) ? Rien. On est bien d’accord.
Un amour qui me suis depuis ma plus tendre enfance, quand, en fin de repas, je réclamais à mes grands-parents mon dessert… Comprenez : DU PAIN !!!
Après tout, laissez tomber le Schtroumpf (cf mon billet précédent), je m’en vais draguer au choix :
1. Un grand chef.
2. Un boulanger.
3. Un homme sandwich.
1 commentaire:
Dieu que je te suis dans ce péché mignon!!! Rien de tel que la bonne chair!!!!!
Et le PAIN, le BON pain je veux dire, parle m'en! Ca me manque trooooop ici...
Bisous jolie Bridget "moelleuse"!! ;-)
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