Je suis tombée amoureuse ce week-end… D’une paire de chaussures !!! Vous connaissez cette fameuse devise : « quand on aime, on ne compte pas » ? Bien. J’ai décidé en effet de ne pas compter. D’autant plus que c’est un cadeau que ma Maman me fait pour Noël… Youpi !
Description du délit du week-end :
Cuir vernis. Lacets. Un peu montantes comme des bottines. Talons : 8 cm. En bois. Mais surtout, surtout, elles sont bleues. Je suis en effet dans ma grande période bleue. Comme Picasso, mais à une autre échelle en somme.
Beaucoup de filles vous le diront, nous entretenons une relation toute particulière avec ces accessoires de mode. Pourquoi ? me direz-vous, Messieurs. Je suppose d’abord qu’il faut bien que l’on marche sur quelque chose qui ne soit pas nos moignons ;-). Puis une jolie paire de chaussures finit la tenue, il suffit parfois de peu de chose pour se sentir (au choix) à l’aise, sexy, les pieds à l’air ou au chaud, dominatrice ou petite fille modèle, ou simplement pour voir le monde d’un peu plus haut.
Je me demande souvent quelle paire de chaussures je sauverais s’il y avait un incendie chez moi et que je ne pouvais en choisir qu’une… (Je m’éclate dans ma tête !) Le débat est donc ouvert :
- Les petites sandales vertes et dorées achetées l’an passé pendant les soldes ? Sauf que c’était la seule paire du magasin non soldée. Bien sûr.
- Ces bottes arrachées à une minuscule boutique trendy du centre-ville de Lisbonne ? Grises et noires, talons fins. Un peu casse-gueule mais tellement originales.
- Mes bottes en daim noir ? Plates et confortables à souhait, elles sont inusables.
- Mes petites ballerines violettes en plastique avec un nœud jaune ?…
Oh que non ! S’il n’y en avait qu’une et une seule, je choisirais ma paire d’escarpins noirs Jonak. En mode Minnie avec un petit nœud sur le côté et pas loin de 8 cm de talons. Je les adooooooooooore. Pas particulièrement pour leur forme ou leur confort mais parce que dans ces chaussures, je me sens super sexy. Et ça, ça change tout. Elles mériteraient que je me fasse calciner les sourcils pour les sauver, je vous le jure.
Allez, demain on parle sacs à main.
Description du délit du week-end :
Cuir vernis. Lacets. Un peu montantes comme des bottines. Talons : 8 cm. En bois. Mais surtout, surtout, elles sont bleues. Je suis en effet dans ma grande période bleue. Comme Picasso, mais à une autre échelle en somme.
Beaucoup de filles vous le diront, nous entretenons une relation toute particulière avec ces accessoires de mode. Pourquoi ? me direz-vous, Messieurs. Je suppose d’abord qu’il faut bien que l’on marche sur quelque chose qui ne soit pas nos moignons ;-). Puis une jolie paire de chaussures finit la tenue, il suffit parfois de peu de chose pour se sentir (au choix) à l’aise, sexy, les pieds à l’air ou au chaud, dominatrice ou petite fille modèle, ou simplement pour voir le monde d’un peu plus haut.
Je me demande souvent quelle paire de chaussures je sauverais s’il y avait un incendie chez moi et que je ne pouvais en choisir qu’une… (Je m’éclate dans ma tête !) Le débat est donc ouvert :
- Les petites sandales vertes et dorées achetées l’an passé pendant les soldes ? Sauf que c’était la seule paire du magasin non soldée. Bien sûr.
- Ces bottes arrachées à une minuscule boutique trendy du centre-ville de Lisbonne ? Grises et noires, talons fins. Un peu casse-gueule mais tellement originales.
- Mes bottes en daim noir ? Plates et confortables à souhait, elles sont inusables.
- Mes petites ballerines violettes en plastique avec un nœud jaune ?…
Oh que non ! S’il n’y en avait qu’une et une seule, je choisirais ma paire d’escarpins noirs Jonak. En mode Minnie avec un petit nœud sur le côté et pas loin de 8 cm de talons. Je les adooooooooooore. Pas particulièrement pour leur forme ou leur confort mais parce que dans ces chaussures, je me sens super sexy. Et ça, ça change tout. Elles mériteraient que je me fasse calciner les sourcils pour les sauver, je vous le jure.
Allez, demain on parle sacs à main.
1 commentaire:
Je veux les voir !!!
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