samedi 5 janvier 2013

Un samedi 29 Décembre à Budapest



Quelle douce nuit ! Couchées comme des poules à 22H, debout 9H, je vous laisse calculer…
Buffet du petit-déj absolument gargantuesque, je m’en donne à cœur joie (résolutions, J-3 !!!)

La Citadelle nous offre une vue panoramique et grandiose sur la capitale, le tout sous un ciel bleu resplendissant.


Les thermes Gellert Gyogyfurdo : nous avons mis du temps à trouver les vestiaires pour dames, puis une fois repérées, Aurél a profité de la proximité des toilettes pour y nettoyer dans le lavabo ses bottes toutes crottées par la terre de la balade.
Résultat : à notre sortie, le pauvre plombier s’affairait à remettre le tout en ordre, avec une légère pointe d’agacement notable.
Pendant ce temps, nous nous prélassions dans les bains chauds : « l’éloge de la mollesse » comme l’indiquait très justement notre guide.
Tout cela en gardant un œil vigilant sur nos serviettes. Au prix de la caution, il valait mieux.


Au sortir des thermes, traversée du pont pour rejoindre le centre-ville : pas facile de nous repérer dans ces rues aux noms qui nous semblent tous similaires… Ce qui finit par passablement m’énerver : je suis littéralement perdue et mon sens de l’orientation est aux oubliettes !


Superbe marché - halle couverte.


Goûter dans le splendide salon de thé Gerbeaud.
Au moment de faire une halte au pipi-room, découverte du bistro Gerbeaud attenant au salon de thé… Une adresse à retenir !

Budapest à la nuit tombée : une autre ambiance, plus de charme, incontestablement. On en profite pour apprécier les marchés de Noël et les décorations lumineuses, pour faire quelques boutiques et un peu de repérage bars + restos pour plus tard…


…Pour finalement retourner au Bistro Gerbeaud déguster un petit vin blanc hongrois. Yummy ! Ce sera donc deux demi-bouteilles – à deux hein, pas chacune ! Je suis sereine, je vous rassure, tout va bien.
Le vin ne fait que souligner ce que je sais déjà : on se marre bien toutes les 2 !

Au dodo, il est 23H20. J’ai besoin de me reposer : j’ai failli en effet faire une crise cardiaque en réalisant que mon iPhone était coincé dans ce foutu coffre-fort de l’hôtel ! Et que je ne pouvais donc ni recevoir, ni envoyer de nouvelles à Mon Sanglier adoré.
Heureusement, le personnel de l’hôtel est efficace, je suis soulagée, et je peux maintenant faire de beaux rêves…

Aucun commentaire:

Cherchez Bridget

Ma photo
Je suis une femme. Et ouais, plus de « Hé Mademoiselle » qui traîne : à 30 ans, je suis passée du côté obscur de la force. Je suis blonde. Oui, oui, une vraie, à l’état naturel. Avec tout ce que ça comporte comme préjugés. Ma meilleure défense et en même temps mon meilleur plan d’attaque : le classique : « hum, c’est mon côté blonde », valable en toutes circonstances, avec en option le doigt sur la bouche pour le côté naïve-coquine-irrésistible. Pour le meilleur et pour le pire. Parce qu’il faut souffrir pour être blonde, ça se travaille et ça s’entretient Madame, j’vous le dis moi. Je suis célibataire. Un peu. Souvent. De façon récurrente. TOUJOURS. TOUT LE TEMPS ! Ok, ok, je suis un cas désespéré. Je suis drôle bien sûr. Et j’assume. BREF, JE SUIS BRIDGET ! Quand j’ai commencé à écrire ce blog, j’avais simplement envie de partager mes mots et mes maux, comme une thérapie. Maintenant, c’est BEAUCOUP plus que ça : c’est mon petit coin de paradis, c’est mon grand plaisir, c’est ma fierté. Alors « come on in » : ris, pleure, râle, aime-moi, insulte-moi, mais surtout, surtout : amuse-toi autant que moi !!!