jeudi 3 janvier 2013

Un vendredi 28 Décembre à Budapest

Il était une fois… Aurél et moi à Budapest ! Je n’avais pas envie de vous écrire un roman, mais simplement de vous donner quelques images fortes de notre séjour, sous forme d’anecdotes ou d’instantanés si vous préférez. On y va ? Allez, et… Bon voyage !

- Réveil 4H : j’ai beau être matinale, j’ai mal.
- Le taxi arrive devant ma porte à 4H45 pétantes. Merci WeCab !

- Trois petits-déjeuners en quelques heures : chez moi avant le grand départ + à l’aéroport + dans l’avion. Les bonnes résolutions, ce sera pour plus tard.
- Le Relay du Terminal F n’a pas encore reçu le ELLE de la semaine. Ça me ruine mon vol… que je passe de toute façon à roupiller en écoutant alternativement en guise de berceuses du Nirvana, Swedish House of Mafia, et Wax Tailor bien évidemment.
- Ça leur arracherait la gueule de nous faire un petit sourire Mesdames les hôtesses Air France ?

- Timing parfait avec Aurél à notre débarquement à l’aéroport de Budapest. Normal, nous sommes parfaites. Et humbles.
- Ravies de l’hôtel, chambre prête malgré notre arrivée matinale.


- Et c’est parti pour une première découverte de la ville.
- Ça sent le vin chaud, les épices, la cannelle.
- Ouf, on ne dénote pas (ou pas trop) avec nos tenues de touristes prévoyantes.


- Déjeuner au Café Kör :
   - Une petite table isolée en mezzanine.
   - LA grande question du jour, qui me turlupine : y aura-t-il du pain ?…
   - Nos histoires de mecs respectives, et de cul. De mecs et de cul, de mecs et de cul.C’est bon d’être entre filles.
   - OUI ! Il y a du pain ! Je revis même si ça n’arrive pas à la cheville d’une bonne baguette tradition bien de chez nous.
   - Fou rire au dessert quand on nous apporte des crêpes recouvertes… de sable. Beurk.


- Mortes de fatigue, retour à l’hôtel pour profiter de la piscine/sauna/hammam/thermes.
- Apéro à l’hôtel du bar :
   - Un happy hour qui ne veut rien dire et qui est tout sauf happy puisque les prix affichés s’appliquent à des verres de 10 CL et que par défaut, le barman sert des verres… de 20 CL !
   - Une explication avec le-dit barman qui tient de l’incompréhension mutuelle maladive. Et de la mauvaise foi.




- Suivi d’un dîner à l’hôtel :
   - Échaudées mais bel et bien amusées par notre épreuve de l’apéro : les serveurs vont-ils se venger en crachant dans nos assiettes ? Ou en y intégrant du liquide séminal ? (Grande classe)
   - Un constat édifiant : il n’y a que 3 couples en tout dans la salle + nous, seule table qui parle, et qui se marre de surcroît ! (ça fait se poser des questions, je vous le dis moi)

- Gêner un couple de français en leur demandant – dans notre langue, alors qu’ils ne s’y attendent pas du tout – à quel étage ils montent. Et s’amuser de leur tronche.

- Passer la soirée à se remémorer nos plus beaux souvenirs de voyages et… commencer d’ores et déjà à rêver du prochain !

1 commentaire:

Bridget a dit…

Bonjour Audrey,
Ne vous excusez pas !
Je suis extrêmement intéressée, j'aimerais en effet en savoir plus, mais du coup, c'est moi qui ne peux pas vous contacter en direct...
Voici mon adresse mail, ce qui devrait simplifier la suite de nos échanges : ilfautsouffrirpouretreblonde@gmail.com
Dans l'attente de vous lire,
Bridget

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Je suis une femme. Et ouais, plus de « Hé Mademoiselle » qui traîne : à 30 ans, je suis passée du côté obscur de la force. Je suis blonde. Oui, oui, une vraie, à l’état naturel. Avec tout ce que ça comporte comme préjugés. Ma meilleure défense et en même temps mon meilleur plan d’attaque : le classique : « hum, c’est mon côté blonde », valable en toutes circonstances, avec en option le doigt sur la bouche pour le côté naïve-coquine-irrésistible. Pour le meilleur et pour le pire. Parce qu’il faut souffrir pour être blonde, ça se travaille et ça s’entretient Madame, j’vous le dis moi. Je suis célibataire. Un peu. Souvent. De façon récurrente. TOUJOURS. TOUT LE TEMPS ! Ok, ok, je suis un cas désespéré. Je suis drôle bien sûr. Et j’assume. BREF, JE SUIS BRIDGET ! Quand j’ai commencé à écrire ce blog, j’avais simplement envie de partager mes mots et mes maux, comme une thérapie. Maintenant, c’est BEAUCOUP plus que ça : c’est mon petit coin de paradis, c’est mon grand plaisir, c’est ma fierté. Alors « come on in » : ris, pleure, râle, aime-moi, insulte-moi, mais surtout, surtout : amuse-toi autant que moi !!!