12H. Il est temps d’aller acheter un petit cadeau pour mon ami P. dont c’est la pendaison de crémaillère la semaine prochaine. Pas besoin de m’en cacher, le bougre ne lit pas mon blog ;-)
Il y a cette boutique de cadres près de chez moi, avec un choix hallucinant. C’est joli d’ailleurs, et la dame est charmante.
Je m’y presse donc, toute motivée que je suis parce que je rentre dans un jean dans lequel j’étais totalement boudinée il y a quelques semaines encore. Bref, la journée s’annonce belle.
Et je ne me trompe pas puisque ce n’est pas la charmante dame de d’habitude qui m’accueille, mais une espèce de beau gosse descendu de la planète PCAYB (Prince Charmant Aux Yeux Bleus).
Je fonds. Je bafouille. Je tournicote dans le magasin. Je passe 3 heures à faire mon choix. Lui fais déballer tous les cadres. Tout ça pour partager 5 minutes de plus avec lui. Je sais, ça tourne pas rond dans mon ciboulot.
Je passe commande, laisse mon numéro de portable pour qu’il me prévienne quand ce sera prêt (pas folle la guêpe !) et je repars toute guillerette, en ne pensant qu’à ma prochaine visite.
Puis je file à la médiathèque m’aérer l’esprit… (Oui, je sais.)
17H30. Pas de coup de fil, mais ça doit être prêt. Moi, je le suis, prête, en tout cas. Direction la fameuse boutique. Enhardie par le rayon de soleil, je rentre et là, la lose. C’est plein de monde. Ça ne va pas aider pour faire ce que j’ai à faire : le plaquer contre le mur et lui faire sa fête ! Non, je rigole bien sûr. Quoique...
« Je vous l’emballe ? » ça mon ptit, oui, c’est un cadeau. Mais emballe-moi tout court chéri, je ne demande que ça ! ;-) (extraits de ce qui défile dans ma petite tête de Bridget)
Pendant qu’il fait le papier cadeau, je fais ma Miss Marple des Hauts-de-Seine et vois derrière le comptoir un tas de copies… Etudiant ? Ah, non, j’ai dit que j’arrêtais ! ;-) Prof ? ça cadre mieux : j’ai l’impression qu’elles sont en cours de correction ces copies. J’exulte. Bonne pioche !
Je dégaine ma Carte Premier, cherche à gagner du temps.
Comme un ami très cher me le faisait justement remarquer hier : on n’a qu’une vie. Alors je saute le pas et lui demande s’il a conservé mon numéro de portable. Hihi je connais déjà la réponse puisqu’il est toujours sur le comptoir. Je lui propose de le garder, lui donne mon prénom, et je lui dis qu’il est charmant. M’en fous s’il ne m’appelle jamais : 80% de chances pour qu’il soit maqué, 80% de chances pour que je ne lui plaise pas (blonde + maths = cata. Mais vous avez compris l’idée, non ?)
Je me sens juste légère parce que bien que je sois devenue écarlate (grande spécialité chez moi !), je suis fière d’avoir osé ! Na.
Il y a cette boutique de cadres près de chez moi, avec un choix hallucinant. C’est joli d’ailleurs, et la dame est charmante.
Je m’y presse donc, toute motivée que je suis parce que je rentre dans un jean dans lequel j’étais totalement boudinée il y a quelques semaines encore. Bref, la journée s’annonce belle.
Et je ne me trompe pas puisque ce n’est pas la charmante dame de d’habitude qui m’accueille, mais une espèce de beau gosse descendu de la planète PCAYB (Prince Charmant Aux Yeux Bleus).
Je fonds. Je bafouille. Je tournicote dans le magasin. Je passe 3 heures à faire mon choix. Lui fais déballer tous les cadres. Tout ça pour partager 5 minutes de plus avec lui. Je sais, ça tourne pas rond dans mon ciboulot.
Je passe commande, laisse mon numéro de portable pour qu’il me prévienne quand ce sera prêt (pas folle la guêpe !) et je repars toute guillerette, en ne pensant qu’à ma prochaine visite.
Puis je file à la médiathèque m’aérer l’esprit… (Oui, je sais.)
17H30. Pas de coup de fil, mais ça doit être prêt. Moi, je le suis, prête, en tout cas. Direction la fameuse boutique. Enhardie par le rayon de soleil, je rentre et là, la lose. C’est plein de monde. Ça ne va pas aider pour faire ce que j’ai à faire : le plaquer contre le mur et lui faire sa fête ! Non, je rigole bien sûr. Quoique...
« Je vous l’emballe ? » ça mon ptit, oui, c’est un cadeau. Mais emballe-moi tout court chéri, je ne demande que ça ! ;-) (extraits de ce qui défile dans ma petite tête de Bridget)
Pendant qu’il fait le papier cadeau, je fais ma Miss Marple des Hauts-de-Seine et vois derrière le comptoir un tas de copies… Etudiant ? Ah, non, j’ai dit que j’arrêtais ! ;-) Prof ? ça cadre mieux : j’ai l’impression qu’elles sont en cours de correction ces copies. J’exulte. Bonne pioche !
Je dégaine ma Carte Premier, cherche à gagner du temps.
Comme un ami très cher me le faisait justement remarquer hier : on n’a qu’une vie. Alors je saute le pas et lui demande s’il a conservé mon numéro de portable. Hihi je connais déjà la réponse puisqu’il est toujours sur le comptoir. Je lui propose de le garder, lui donne mon prénom, et je lui dis qu’il est charmant. M’en fous s’il ne m’appelle jamais : 80% de chances pour qu’il soit maqué, 80% de chances pour que je ne lui plaise pas (blonde + maths = cata. Mais vous avez compris l’idée, non ?)
Je me sens juste légère parce que bien que je sois devenue écarlate (grande spécialité chez moi !), je suis fière d’avoir osé ! Na.
3 commentaires:
j'adore et t'a bien fait. Très hate de voir s'il t'a appelé
Je veux la suite de l'histoire !! Hihihi !! De toute façon, qui ne tente rien, n'a rien !! Il faut parfois forcer un peu le destin, non ?
Au fait, je le connais ce P. ...? ;-)
Enregistrer un commentaire