Ah, les résolutions… En voilà une tradition bien ridicule :
- on en prend des tonnes,
- on les oublie dès le lendemain (après toutes ces unités d’alcool ingurgitées… et je sais de quoi je parle ! ),
- et surtout on n’en tient pas une à la fin !
Oui, oui, je vous vois, ça sent le vécu, pas vrai ?
Ma solution : ne prendre que des engagements que je suis sûre de tenir (Oui, je sais c’est facile, mais en tant que blonde, j’ai une excuse).
Alors voici en VIP absolu ma liste pour 2009 :
- Profiter des gens que j’aime et leur dire que je les aime (je la ressors à chaque fois celle-ci, elle fait toujours son petit effet).
- Prendre soin de moi, tant physiquement (une vraie coiffure, moins de boutons, plus de sexe et pas plus de poids voire moins c’est encore mieux) que moralement (du peps, de la bonne humeur, du fun – profiter de la vie quoi ! ).
- Faire de mon nouveau chez moi un petit nid douillet.
- Last but not least, entretenir mon blog pour être citée dans la liste de ELLE l’an prochain (euh, pas gagné celui-ci !)
Bon alors disons plus simplement avoir plus d’abonnés à mon blog et au moins un commentaire sur une de mes chroniques ? (là c’est plus réaliste)
Ce qui implique de m’investir davantage dans ma passion (lecture, écriture, blog) parce que ça me fait du bien. Chacun son exutoire…
À vous de jouer et… bonne année !
mercredi 31 décembre 2008
mardi 30 décembre 2008
God save the pill !
N’en déplaise aux détracteurs, je n’en peux plus.
Oui, chers internautes, je me vois bien dans le miroir tous les jours, et je ne me supporte plus. Je suis arrivée à un point de non-retour.
Alors ce matin, j’ai décidé de dire STOP.
STOP THE SPOTS !
Depuis quelques mois, j’ai l’impression d’avoir 15 ans, que les gens ne voient que ça, ne regardent que ça, sans voir au-delà.
Tout ça parce qu’initialement pas de mec, pas de sexe, pas de pilule.
Oh mais je ne suis pas du genre à me laisser abattre, loin de là. Voici donc mon plan d’attaque pour janvier :
Mardi 6 : Gynéco
Vendredi 9 : Dermato
Samedi 10 : Esthéticienne
Vendredi 23 : Coiffeur (euh rien à voir, mais ça ne peut pas rester comme ça non plus).
En 2009, je serai une nouvelle femme ! Enfin j’espère… !
Comme le souligne si bien mon film préféré :
Rule N°1 : BE GORGEOUS ! Et c'est pas gagné ;-)
Oui, chers internautes, je me vois bien dans le miroir tous les jours, et je ne me supporte plus. Je suis arrivée à un point de non-retour.
Alors ce matin, j’ai décidé de dire STOP.
STOP THE SPOTS !
Depuis quelques mois, j’ai l’impression d’avoir 15 ans, que les gens ne voient que ça, ne regardent que ça, sans voir au-delà.
Tout ça parce qu’initialement pas de mec, pas de sexe, pas de pilule.
Oh mais je ne suis pas du genre à me laisser abattre, loin de là. Voici donc mon plan d’attaque pour janvier :
Mardi 6 : Gynéco
Vendredi 9 : Dermato
Samedi 10 : Esthéticienne
Vendredi 23 : Coiffeur (euh rien à voir, mais ça ne peut pas rester comme ça non plus).
En 2009, je serai une nouvelle femme ! Enfin j’espère… !
Comme le souligne si bien mon film préféré :
Rule N°1 : BE GORGEOUS ! Et c'est pas gagné ;-)
lundi 29 décembre 2008
1 an déjà
Je n’arrive pas à dormir.
Il fait noir ; il fait surtout noir à l’intérieur de moi.
Je me relève, je suis fatiguée mais pour autant je sens que je ne pourrai pas fermer l’œil. Autant me recroqueviller dans le canapé devant une émission à la con avec une bonne boîte de mouchoirs. Parce que je pleure, oui, je pleure. Je ne reconnais pas l’homme qui est dans mon lit.
Tiens, le voilà justement. Il a l’air bizarre... Et là, le couperet tombe :
« Je ne t’aime plus. J’ai rencontré quelqu’un d’autre. »
10 secondes pour que ma vie bascule.
C’est vrai, après tout, je ne lui en veux pas : ça aurait très bien pu m’arriver aussi. Mais en même temps, bizarrement, ça ne m’est justement pas arrivé !
C’était il y a tout juste 1 an. Jour pour jour. J’ai l’impression que c’était hier pourtant.
Tout avait pourtant tellement bien commencé. Un master en école de commerce, un titre bien pompeux pour une année qui coûte la peau du cul et ne brille pas particulièrement par la qualité de ses cours.
Bref.
3 copines. Un déjeuner où nous accostons 3 autres garçons qui se trouvent être dans la même classe que nous. Il est parmi eux. Une fraction de secondes. Pour comprendre que c’était l’homme de ma vie. C’est du moins ce que j’ai cru pendant 4 ans et demi.
On avait tout pour nous. C’était presque trop beau. Et la vie vient de m’apprendre que croire aux contes de fées, c’est ridicule.
Il fait noir ; il fait surtout noir à l’intérieur de moi.
Je me relève, je suis fatiguée mais pour autant je sens que je ne pourrai pas fermer l’œil. Autant me recroqueviller dans le canapé devant une émission à la con avec une bonne boîte de mouchoirs. Parce que je pleure, oui, je pleure. Je ne reconnais pas l’homme qui est dans mon lit.
Tiens, le voilà justement. Il a l’air bizarre... Et là, le couperet tombe :
« Je ne t’aime plus. J’ai rencontré quelqu’un d’autre. »
10 secondes pour que ma vie bascule.
C’est vrai, après tout, je ne lui en veux pas : ça aurait très bien pu m’arriver aussi. Mais en même temps, bizarrement, ça ne m’est justement pas arrivé !
C’était il y a tout juste 1 an. Jour pour jour. J’ai l’impression que c’était hier pourtant.
Tout avait pourtant tellement bien commencé. Un master en école de commerce, un titre bien pompeux pour une année qui coûte la peau du cul et ne brille pas particulièrement par la qualité de ses cours.
Bref.
3 copines. Un déjeuner où nous accostons 3 autres garçons qui se trouvent être dans la même classe que nous. Il est parmi eux. Une fraction de secondes. Pour comprendre que c’était l’homme de ma vie. C’est du moins ce que j’ai cru pendant 4 ans et demi.
On avait tout pour nous. C’était presque trop beau. Et la vie vient de m’apprendre que croire aux contes de fées, c’est ridicule.
dimanche 28 décembre 2008
Cuisine & mots
Je regardais avant-hier un reportage sur la cuisine sur France 3[1].
Chez mes parents.
Dans mon pyjama en pilou-pilou.
Et ma robe de chambre.
Avec mon chat sur les genoux.
Dans la banlieue parisienne, mais sans doute la dernière limite du département avant que l’on parle réellement de la province (au secours ! ).
Bref, ce n’est pas le sujet du jour.
J’ai été frappée par la façon dont tous ces passionnés « parlaient » de cuisine. Avec douceur et poésie. Avec finesse et enthousiasme. Ave nostalgie et ivresse.
J’ai alors réalisé que moi aussi je partage ces deux passions : l’amour des mots et l’amour de la cuisine. Il peut y avoir des liens entre les deux : le partage, l’héritage, la créativité.
Je vous vois, vous pouvez barrer de vos visages ce petit rictus moqueur ! Oui, chers lecteurs, une blonde peut s’affairer en cuisine sans pour autant coller ses crêpes au plafond, repeindre ses murs en gaspacho ou se faire un peeling avec des rondelles de mortadelle.
Vous savez ce que j’adore en cuisine ? D’abord, le fait de penser aux invités lorsqu’on choisit son menu : ce qui va leur plaire, les étonner, le tout étant qu’ils repartent ravis et repus. Puis choisir les bons produits et s’appliquer pour que le résultat soit le plus conforme possible à nos attentes. Puis surtout partager le résultat ensemble.
Cuisiner, c’est une preuve d’amour en ce qui me concerne.
C’est aussi une question d’héritage et de culture. J’ai toujours vu mes grands-mères et ma mère cuisiner. Depuis toute petite, je vais au marché et je me familiarise avec des produits du terroir et des produits exotiques. Des senteurs, des sons, des couleurs… La cuisine est une science qui fait se rencontrer les 5 sens : l’ouie, le toucher, l’odorat, la vue, le goût.
Le charcutier me donnait toujours une petite rondelle de saucisson que je dégustais du fond de ma poussette. Et le boucher me tendait un petit bonbon acidulé (euh, sauf qu’une fois il a voulu me donner du museau, et ça, ça ne passe pas !).
Ma mère est espagnole, ce qui a contribué à enrichir mon vocabulaire organoleptique : le safran, l’huile d’olive, les fruits de mer, les olives, la paella… Autant de souvenirs culinaires qui marquent et inspirent…
J’aime aussi cuisiner pour moi. Pour le plaisir de me laisser aller à inventer des associations et à découvrir sans cesse de nouvelles saveurs. Et puis cela me permet de m’évader. Un petit fond de musique et c’est encore mieux…
En revanche, en perfectionniste que je suis, je déteste rater un plat. Et en même temps, c’est en se trompant que l’on apprend à ne pas répéter les mêmes erreurs (et pas qu’en cuisine les amis, je vous le dis ! ).
Aimer cuisiner, c’est avant tout aimer manger ! Alors je vous laisse, je vais me rassasier !
[1] Des stars dans notre assiette, Présenté par Mireille Dumas, Vendredi 26 décembre 2008 à 20h50
Chez mes parents.
Dans mon pyjama en pilou-pilou.
Et ma robe de chambre.
Avec mon chat sur les genoux.
Dans la banlieue parisienne, mais sans doute la dernière limite du département avant que l’on parle réellement de la province (au secours ! ).
Bref, ce n’est pas le sujet du jour.
J’ai été frappée par la façon dont tous ces passionnés « parlaient » de cuisine. Avec douceur et poésie. Avec finesse et enthousiasme. Ave nostalgie et ivresse.
J’ai alors réalisé que moi aussi je partage ces deux passions : l’amour des mots et l’amour de la cuisine. Il peut y avoir des liens entre les deux : le partage, l’héritage, la créativité.
Je vous vois, vous pouvez barrer de vos visages ce petit rictus moqueur ! Oui, chers lecteurs, une blonde peut s’affairer en cuisine sans pour autant coller ses crêpes au plafond, repeindre ses murs en gaspacho ou se faire un peeling avec des rondelles de mortadelle.
Vous savez ce que j’adore en cuisine ? D’abord, le fait de penser aux invités lorsqu’on choisit son menu : ce qui va leur plaire, les étonner, le tout étant qu’ils repartent ravis et repus. Puis choisir les bons produits et s’appliquer pour que le résultat soit le plus conforme possible à nos attentes. Puis surtout partager le résultat ensemble.
Cuisiner, c’est une preuve d’amour en ce qui me concerne.
C’est aussi une question d’héritage et de culture. J’ai toujours vu mes grands-mères et ma mère cuisiner. Depuis toute petite, je vais au marché et je me familiarise avec des produits du terroir et des produits exotiques. Des senteurs, des sons, des couleurs… La cuisine est une science qui fait se rencontrer les 5 sens : l’ouie, le toucher, l’odorat, la vue, le goût.
Le charcutier me donnait toujours une petite rondelle de saucisson que je dégustais du fond de ma poussette. Et le boucher me tendait un petit bonbon acidulé (euh, sauf qu’une fois il a voulu me donner du museau, et ça, ça ne passe pas !).
Ma mère est espagnole, ce qui a contribué à enrichir mon vocabulaire organoleptique : le safran, l’huile d’olive, les fruits de mer, les olives, la paella… Autant de souvenirs culinaires qui marquent et inspirent…
J’aime aussi cuisiner pour moi. Pour le plaisir de me laisser aller à inventer des associations et à découvrir sans cesse de nouvelles saveurs. Et puis cela me permet de m’évader. Un petit fond de musique et c’est encore mieux…
En revanche, en perfectionniste que je suis, je déteste rater un plat. Et en même temps, c’est en se trompant que l’on apprend à ne pas répéter les mêmes erreurs (et pas qu’en cuisine les amis, je vous le dis ! ).
Aimer cuisiner, c’est avant tout aimer manger ! Alors je vous laisse, je vais me rassasier !
[1] Des stars dans notre assiette, Présenté par Mireille Dumas, Vendredi 26 décembre 2008 à 20h50
samedi 27 décembre 2008
Je n'aime pas...
Chers lecteurs,
Cette liste ne serait pas complète si je n’allais pas explorer l’autre face de l’exercice, à savoir les « je n’aime pas » :
· Je n’aime pas les cons qui se croient supérieurs et te font sentir à quel point tu es de la merde. (Ok, j’avoue, ça commence fort !!! )
· Je n’aime pas les conflits. Je suis rassurée dans le calme et la communication.
· Je n’aime pas les gens qui n’expriment pas leurs sentiments parce que je me sens démunie, désarçonnée et perdue face à eux.
· Je n’aime pas me faire larguer par texto : c’est lâche et typiquement masculin. (spéciale dédicace, mais j’ai la délicatesse de ne pas balancer de nom ;-))
· Je n’aime pas me faire larguer tout court ; la douleur est trop difficile à supporter.
· Je n’aime pas la pluie : cette sensation d’humidité pénétrante et l’odeur qui se dégage des trottoirs. On se dit souvent que la pluie nettoie ; je pense au contraire qu’elle ne fait qu’accentuer la laideur des choses, leur infinie tristesse.
Même chose : à vous de vous lâcher un peu (ça fait du bien, c’est garanti ! ).
Cette liste ne serait pas complète si je n’allais pas explorer l’autre face de l’exercice, à savoir les « je n’aime pas » :
· Je n’aime pas les cons qui se croient supérieurs et te font sentir à quel point tu es de la merde. (Ok, j’avoue, ça commence fort !!! )
· Je n’aime pas les conflits. Je suis rassurée dans le calme et la communication.
· Je n’aime pas les gens qui n’expriment pas leurs sentiments parce que je me sens démunie, désarçonnée et perdue face à eux.
· Je n’aime pas me faire larguer par texto : c’est lâche et typiquement masculin. (spéciale dédicace, mais j’ai la délicatesse de ne pas balancer de nom ;-))
· Je n’aime pas me faire larguer tout court ; la douleur est trop difficile à supporter.
· Je n’aime pas la pluie : cette sensation d’humidité pénétrante et l’odeur qui se dégage des trottoirs. On se dit souvent que la pluie nettoie ; je pense au contraire qu’elle ne fait qu’accentuer la laideur des choses, leur infinie tristesse.
Même chose : à vous de vous lâcher un peu (ça fait du bien, c’est garanti ! ).
J'aime...
Chers internautes bonjour,
J’espère que vous avez passé d’excellentes fêtes de Noël. J’en ai profité pour vous livrer un petit cadeau…
Voici quelques « j’aime », un bon moyen d’apprendre à me connaître un tout petit peu mieux, même si cette liste ne sera jamais exhaustive !
· J’aime le petit-déjeuner quand j’ai le temps d’en profiter et de me faire plaisir. L’odeur du café et le bonheur de partager les tous premiers moments de la journée avec l’être aimé pour se redécouvrir chaque jour à l’aube.
· J’aime les premiers instants avant de plonger dans le soleil (lapsus pour sommeil initialement prévu ? ). L’esprit relâché, on étend ses idées, on pose ses maux sur l’oreiller. Demain est un autre jour.
· J’aime danser, libérer mon corps et mon esprit de toutes les tensions accumulées. Me lâcher, sentir les regards sur moi et me sentir sexy.
· J’aime qu’on m’aime.
· J’aime la charcuterie et un bon verre de vin s’ils sont partagés avec des gens que j’aime.
· J’aime la vie : les bons côtés et les épreuves, les rencontres, les plaisirs futiles. Tous les jours. Jusqu’à la fin.
· J’aime écrire, sentir le glissement du stylo sur le papier, percevoir le pouvoir des mots, intercepter une émotion, apprécier un style et en profiter pour affirmer le mien.
· J’aime mes amis parce que je sais qu’ils seront toujours là pour moi, quoiqu’il advienne. Parce qu’ils l’ont déjà prouvé.
· J’aime me faire belle. Me pomponner. Me préparer. Pour moi. Pour les autres.
· J’aime Paris et cette sensation d’être sans cesse en train de la découvrir. Elle ne livre jamais tout d’elle : patience et curiosité sont nécessaires pour en faire son alliée. Elle est intarissable, elle a tout vu, elle est tout simplement magique.
· J’aime les chats. Ils ont une élégance naturelle et des mimiques inimitables. Ils ressentent les choses et sont très attachés à leur maître(sse) malgré une indépendance affirmée.
A vous ! J’adorerais que vous me disiez quels sont ces petits bonheurs quotidiens dont vous raffolez…
J’espère que vous avez passé d’excellentes fêtes de Noël. J’en ai profité pour vous livrer un petit cadeau…
Voici quelques « j’aime », un bon moyen d’apprendre à me connaître un tout petit peu mieux, même si cette liste ne sera jamais exhaustive !
· J’aime le petit-déjeuner quand j’ai le temps d’en profiter et de me faire plaisir. L’odeur du café et le bonheur de partager les tous premiers moments de la journée avec l’être aimé pour se redécouvrir chaque jour à l’aube.
· J’aime les premiers instants avant de plonger dans le soleil (lapsus pour sommeil initialement prévu ? ). L’esprit relâché, on étend ses idées, on pose ses maux sur l’oreiller. Demain est un autre jour.
· J’aime danser, libérer mon corps et mon esprit de toutes les tensions accumulées. Me lâcher, sentir les regards sur moi et me sentir sexy.
· J’aime qu’on m’aime.
· J’aime la charcuterie et un bon verre de vin s’ils sont partagés avec des gens que j’aime.
· J’aime la vie : les bons côtés et les épreuves, les rencontres, les plaisirs futiles. Tous les jours. Jusqu’à la fin.
· J’aime écrire, sentir le glissement du stylo sur le papier, percevoir le pouvoir des mots, intercepter une émotion, apprécier un style et en profiter pour affirmer le mien.
· J’aime mes amis parce que je sais qu’ils seront toujours là pour moi, quoiqu’il advienne. Parce qu’ils l’ont déjà prouvé.
· J’aime me faire belle. Me pomponner. Me préparer. Pour moi. Pour les autres.
· J’aime Paris et cette sensation d’être sans cesse en train de la découvrir. Elle ne livre jamais tout d’elle : patience et curiosité sont nécessaires pour en faire son alliée. Elle est intarissable, elle a tout vu, elle est tout simplement magique.
· J’aime les chats. Ils ont une élégance naturelle et des mimiques inimitables. Ils ressentent les choses et sont très attachés à leur maître(sse) malgré une indépendance affirmée.
A vous ! J’adorerais que vous me disiez quels sont ces petits bonheurs quotidiens dont vous raffolez…
mardi 23 décembre 2008
Un grand merci pour bien commencer
Merci à mon amie et collègue Boubou pour m'avoir aidée à trouver le nom de mon blog.
Merci à toute l'équipe commerciale pour nos brainstormings quasi-quotidiens et pour leur soutien.
Merci à tous ceux qui trouvent que ce blog est une bonne idée.
Voilà, ça, c'est fait.
Merci à toute l'équipe commerciale pour nos brainstormings quasi-quotidiens et pour leur soutien.
Merci à tous ceux qui trouvent que ce blog est une bonne idée.
Voilà, ça, c'est fait.
Welcome dear friends !
Finalement, écrire à son journal, à son reflet dans le miroir, à un ami imaginaire, ce n’est plus de mon âge. Il est temps de me confronter à vos plumes assassines (ou pas ! ). D’être encouragée ou démolie MAIS D’ÊTRE LUE !
Après une année un peu chaotique, écrire est devenu une thérapie, ma thérapie.
Et j’ai envie de partager tout ça avec vous (même si pour le moment, il n’y a que moi ici…).
Après une année un peu chaotique, écrire est devenu une thérapie, ma thérapie.
Et j’ai envie de partager tout ça avec vous (même si pour le moment, il n’y a que moi ici…).
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Cherchez Bridget
- Bridget
- Je suis une femme. Et ouais, plus de « Hé Mademoiselle » qui traîne : à 30 ans, je suis passée du côté obscur de la force. Je suis blonde. Oui, oui, une vraie, à l’état naturel. Avec tout ce que ça comporte comme préjugés. Ma meilleure défense et en même temps mon meilleur plan d’attaque : le classique : « hum, c’est mon côté blonde », valable en toutes circonstances, avec en option le doigt sur la bouche pour le côté naïve-coquine-irrésistible. Pour le meilleur et pour le pire. Parce qu’il faut souffrir pour être blonde, ça se travaille et ça s’entretient Madame, j’vous le dis moi. Je suis célibataire. Un peu. Souvent. De façon récurrente. TOUJOURS. TOUT LE TEMPS ! Ok, ok, je suis un cas désespéré. Je suis drôle bien sûr. Et j’assume. BREF, JE SUIS BRIDGET ! Quand j’ai commencé à écrire ce blog, j’avais simplement envie de partager mes mots et mes maux, comme une thérapie. Maintenant, c’est BEAUCOUP plus que ça : c’est mon petit coin de paradis, c’est mon grand plaisir, c’est ma fierté. Alors « come on in » : ris, pleure, râle, aime-moi, insulte-moi, mais surtout, surtout : amuse-toi autant que moi !!!