Je n’arrive pas à dormir.
Il fait noir ; il fait surtout noir à l’intérieur de moi.
Je me relève, je suis fatiguée mais pour autant je sens que je ne pourrai pas fermer l’œil. Autant me recroqueviller dans le canapé devant une émission à la con avec une bonne boîte de mouchoirs. Parce que je pleure, oui, je pleure. Je ne reconnais pas l’homme qui est dans mon lit.
Tiens, le voilà justement. Il a l’air bizarre... Et là, le couperet tombe :
« Je ne t’aime plus. J’ai rencontré quelqu’un d’autre. »
10 secondes pour que ma vie bascule.
C’est vrai, après tout, je ne lui en veux pas : ça aurait très bien pu m’arriver aussi. Mais en même temps, bizarrement, ça ne m’est justement pas arrivé !
C’était il y a tout juste 1 an. Jour pour jour. J’ai l’impression que c’était hier pourtant.
Tout avait pourtant tellement bien commencé. Un master en école de commerce, un titre bien pompeux pour une année qui coûte la peau du cul et ne brille pas particulièrement par la qualité de ses cours.
Bref.
3 copines. Un déjeuner où nous accostons 3 autres garçons qui se trouvent être dans la même classe que nous. Il est parmi eux. Une fraction de secondes. Pour comprendre que c’était l’homme de ma vie. C’est du moins ce que j’ai cru pendant 4 ans et demi.
On avait tout pour nous. C’était presque trop beau. Et la vie vient de m’apprendre que croire aux contes de fées, c’est ridicule.
Il fait noir ; il fait surtout noir à l’intérieur de moi.
Je me relève, je suis fatiguée mais pour autant je sens que je ne pourrai pas fermer l’œil. Autant me recroqueviller dans le canapé devant une émission à la con avec une bonne boîte de mouchoirs. Parce que je pleure, oui, je pleure. Je ne reconnais pas l’homme qui est dans mon lit.
Tiens, le voilà justement. Il a l’air bizarre... Et là, le couperet tombe :
« Je ne t’aime plus. J’ai rencontré quelqu’un d’autre. »
10 secondes pour que ma vie bascule.
C’est vrai, après tout, je ne lui en veux pas : ça aurait très bien pu m’arriver aussi. Mais en même temps, bizarrement, ça ne m’est justement pas arrivé !
C’était il y a tout juste 1 an. Jour pour jour. J’ai l’impression que c’était hier pourtant.
Tout avait pourtant tellement bien commencé. Un master en école de commerce, un titre bien pompeux pour une année qui coûte la peau du cul et ne brille pas particulièrement par la qualité de ses cours.
Bref.
3 copines. Un déjeuner où nous accostons 3 autres garçons qui se trouvent être dans la même classe que nous. Il est parmi eux. Une fraction de secondes. Pour comprendre que c’était l’homme de ma vie. C’est du moins ce que j’ai cru pendant 4 ans et demi.
On avait tout pour nous. C’était presque trop beau. Et la vie vient de m’apprendre que croire aux contes de fées, c’est ridicule.
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