dimanche 11 janvier 2009

Réflexion dominicale sur mon statut de célibataire

Ce qui est amusant lorsqu’on est célibataire (oui cher lecteur, il faut bien s’occuper), c’est qu’on peut s’imaginer vivre quelque chose avec n’importe qui (on peut aussi le faire quand on est en couple, mais c’est dégoûtant ! Bande d’obsédé(e)s ! ;-)).

Parfois, je croise un homme et je ne peux m’empêcher de me demander si ça pourrait le faire (genre ben pourquoi pas ?). Evidemment, dans 99,9% des cas, the answer is NO !
Ce qui est un peu plus perturbant, c’est de se poser la question pour des mecs qu’on connaît depuis longtemps ou que l’on côtoie tous les jours… (Non, toujours pas de noms !)

Toutes ces prises de tête pour ENFIN trouver l’homme parfait ! Mais ouvre les yeux ma pauvre fille : il n’existe pas ! (Euh, petite pause là, c’est mon côté hyper pragmatique qui parle, rassurez-vous).

Je fais la maligne parce que je ne souffre pas spécialement de solitude en ce moment et je me sens épanouie (que de chemin parcouru en un an !). J’ai l’impression de pouvoir profiter des gens qui comptent vraiment pour moi et de vivre une tonne de petits moments privilégiés que je loupais lorsque j’étais en couple.
Ce que je veux dire, entendons-nous bien (je vais y arriver), ce n’est pas que c’est plus ou moins bien, mais simplement que c’est différent.

Bref, disons que je m’offre (enfin j’aime me conforter dans l’idée que j’ai le choix) une période de réflexion et de recul pour prendre soin de moi et me reprendre un peu en mains avant de voguer vers de nouvelles aventures…

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Cherchez Bridget

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Je suis une femme. Et ouais, plus de « Hé Mademoiselle » qui traîne : à 30 ans, je suis passée du côté obscur de la force. Je suis blonde. Oui, oui, une vraie, à l’état naturel. Avec tout ce que ça comporte comme préjugés. Ma meilleure défense et en même temps mon meilleur plan d’attaque : le classique : « hum, c’est mon côté blonde », valable en toutes circonstances, avec en option le doigt sur la bouche pour le côté naïve-coquine-irrésistible. Pour le meilleur et pour le pire. Parce qu’il faut souffrir pour être blonde, ça se travaille et ça s’entretient Madame, j’vous le dis moi. Je suis célibataire. Un peu. Souvent. De façon récurrente. TOUJOURS. TOUT LE TEMPS ! Ok, ok, je suis un cas désespéré. Je suis drôle bien sûr. Et j’assume. BREF, JE SUIS BRIDGET ! Quand j’ai commencé à écrire ce blog, j’avais simplement envie de partager mes mots et mes maux, comme une thérapie. Maintenant, c’est BEAUCOUP plus que ça : c’est mon petit coin de paradis, c’est mon grand plaisir, c’est ma fierté. Alors « come on in » : ris, pleure, râle, aime-moi, insulte-moi, mais surtout, surtout : amuse-toi autant que moi !!!