Mardi, à Sanur, dans un bar, 22H15
Une bonne première nuit au Puri Sading Hotel malgré un orage d’une rare violence. Mais après nos dernières 24 heures, pas de quoi fouetter un chat. D’autant plus que la pluie a cessé juste avant notre petit-déjeuner : que demande le peuple ?
Nous en avons profité pour marcher pendant pas loin de 4 heures (rien de tel pour le régime d’après le Elle de cette semaine ;-)) en profitant au passage d’un petit verre salvateur sur la plage. Moment de panique tout relatif aussi parce que j’ai cru avoir (déjà) choppé une turista ! Fausse alerte, Dieu merci, juste mes petits intestins fragiles.
Bref, avec tous ces rebondissements mais surtout la moiteur ambiante, nous avions bien mérité un plouf dans la piscine de l’hôtel. Un pur bonheur, arrosé de notre 1er merveilleux cocktail de fruits frais de l’île : vive les vacances !
Et puis on avait dit à l’aventure alors nous sommes allées sur la plage rechercher… une masseuse qui puisse aussi nous faire des manucures et on a négocié les prix ! Des tarées de la vie on vous dit !
Enfin quand même 1 heure de massage typiquement balinais + manucure avec dessin de petites fleurs sur les ongles pour 13€ (pour les 2 !!! ). Royal. Bonheur.
Epuisées par tant d’investissement, direction la rue principale de Sanur pour un plan shopping. Mais là, rien. Pas une étincelle. Aucun doute, ce sera pour une autre fois ! On a donc décidé de refaire un plouf (trop dure la vie) et de se préparer pour dîner.
Après avoir emprunté une nouvelle fois notre petit passage préféré pour rejoindre la plage (une havre de paix complètement coupé du monde, au cœur d’une végétation luxuriante), nous avons copieusement dîné en amoureuses face à la mer.
Et là, nous sommes dans un bar à 2 pas de notre hôtel. Mon regard à 360° m’a permis de repérer le seul beau gosse du coin, accoudé au bar. On va se contenter de toucher des yeux, en tout cas pour le moment…
Une bonne première nuit au Puri Sading Hotel malgré un orage d’une rare violence. Mais après nos dernières 24 heures, pas de quoi fouetter un chat. D’autant plus que la pluie a cessé juste avant notre petit-déjeuner : que demande le peuple ?
Nous en avons profité pour marcher pendant pas loin de 4 heures (rien de tel pour le régime d’après le Elle de cette semaine ;-)) en profitant au passage d’un petit verre salvateur sur la plage. Moment de panique tout relatif aussi parce que j’ai cru avoir (déjà) choppé une turista ! Fausse alerte, Dieu merci, juste mes petits intestins fragiles.
Bref, avec tous ces rebondissements mais surtout la moiteur ambiante, nous avions bien mérité un plouf dans la piscine de l’hôtel. Un pur bonheur, arrosé de notre 1er merveilleux cocktail de fruits frais de l’île : vive les vacances !
Et puis on avait dit à l’aventure alors nous sommes allées sur la plage rechercher… une masseuse qui puisse aussi nous faire des manucures et on a négocié les prix ! Des tarées de la vie on vous dit !
Enfin quand même 1 heure de massage typiquement balinais + manucure avec dessin de petites fleurs sur les ongles pour 13€ (pour les 2 !!! ). Royal. Bonheur.
Epuisées par tant d’investissement, direction la rue principale de Sanur pour un plan shopping. Mais là, rien. Pas une étincelle. Aucun doute, ce sera pour une autre fois ! On a donc décidé de refaire un plouf (trop dure la vie) et de se préparer pour dîner.
Après avoir emprunté une nouvelle fois notre petit passage préféré pour rejoindre la plage (une havre de paix complètement coupé du monde, au cœur d’une végétation luxuriante), nous avons copieusement dîné en amoureuses face à la mer.
Et là, nous sommes dans un bar à 2 pas de notre hôtel. Mon regard à 360° m’a permis de repérer le seul beau gosse du coin, accoudé au bar. On va se contenter de toucher des yeux, en tout cas pour le moment…