Le désert de Gobi. Voici à quoi ressemble ma vie sexuelle depuis… un peu plus de 7 mois. Wouah ! Le simple fait de l’écrire me fait me rendre compte à quel point le temps passe vite. Puisque je ne sais pas quand cette période de disette prendra fin, j’assure mes arrières. Après tout, on n’est jamais mieux servie que par soi-même.
Non mécontente de mon premier petit jouet sexuel, mon Lelo qui m’a rendu bien des services, et ne m’a jamais lâchée (lui !), je décide de sauter le pas et de passer à la vitesse supérieure (sans mauvais jeu de mots).
1ère adresse : Le passage du désir, dans le Marais.
Déception ! Plein de touristes et de mecs qui se moquent de l’offre proposée (qui répond forcément à une demande croissante Messieurs, ne vous voilez pas la face). Je teste néanmoins les différents modèles au fond du magasin alors que le vendeur, très décontracté, fait l’apologie de ses godes anaux au couple à côté de moi.
Mouais, j’ai beau être moi-même plutôt ouverte d’esprit, je ne me sens pas très à l’aise ici.
2nde adresse : 1969, Rue St Martin.
On ne change pas une équipe qui gagne : bien qu’installée en face d’une église ( !), la boutique est beaucoup plus avenante et glamour que la première. La vendeuse n’est pas vulgaire, et nous renseigne avec gentillesse sur les modèles invraisemblables pour lesquels mon amie et moi-même avons clairement besoin d’un mode d’emploi.
Je trouve mon bonheur sur un présentoir non sans avoir au préalable vérifié que je faisais le bon choix en testant (manuellement of course) tous les modèles possibles et imaginables, des plus improbables aux plus énormissimes.
Une seule question : orange ou vert ?
- Dites-moi Madame, n’y aurait-il pas un modèle rouge, c’est ma couleur préférée ?
- En même temps, pour là où il va aller, on s’en fout un peu de sa couleur non ?
Chère vendeuse, tu marques un point. Je prends donc le modèle orange, et délestée de 120€, je me souhaite une belle soirée… orgasmique !
Non mécontente de mon premier petit jouet sexuel, mon Lelo qui m’a rendu bien des services, et ne m’a jamais lâchée (lui !), je décide de sauter le pas et de passer à la vitesse supérieure (sans mauvais jeu de mots).
1ère adresse : Le passage du désir, dans le Marais.
Déception ! Plein de touristes et de mecs qui se moquent de l’offre proposée (qui répond forcément à une demande croissante Messieurs, ne vous voilez pas la face). Je teste néanmoins les différents modèles au fond du magasin alors que le vendeur, très décontracté, fait l’apologie de ses godes anaux au couple à côté de moi.
Mouais, j’ai beau être moi-même plutôt ouverte d’esprit, je ne me sens pas très à l’aise ici.
2nde adresse : 1969, Rue St Martin.
On ne change pas une équipe qui gagne : bien qu’installée en face d’une église ( !), la boutique est beaucoup plus avenante et glamour que la première. La vendeuse n’est pas vulgaire, et nous renseigne avec gentillesse sur les modèles invraisemblables pour lesquels mon amie et moi-même avons clairement besoin d’un mode d’emploi.
Je trouve mon bonheur sur un présentoir non sans avoir au préalable vérifié que je faisais le bon choix en testant (manuellement of course) tous les modèles possibles et imaginables, des plus improbables aux plus énormissimes.
Une seule question : orange ou vert ?
- Dites-moi Madame, n’y aurait-il pas un modèle rouge, c’est ma couleur préférée ?
- En même temps, pour là où il va aller, on s’en fout un peu de sa couleur non ?
Chère vendeuse, tu marques un point. Je prends donc le modèle orange, et délestée de 120€, je me souhaite une belle soirée… orgasmique !
1 commentaire:
Alors ???
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