mercredi 14 janvier 2009

NYC, J-1

Bien évidemment j’ai un tant soit peu « préparé » ce voyage :

>> J’ai lu 2 guides complets pour m’instruire un minimum mais aussi pour ne rien louper.
>> Je ne suis pas loin d’atteindre les 64 kgs max. accordés pour ma valise (la trousse de toilette à elle seule y est pour beaucoup ! ).

Il se trouve que j’ai déjà visité la ville il y a 10 ans (ça ne me rajeunit pas ! ), mais on n’a pas le même regard à 27 ans qu’à 17.

À quoi je m’attends ?

>> À attraper un torticolis.
>> À manger très très calorique ;-)
>> À avoir très très froid.
>> À un fourmillement permanent de New Yorkais, de touristes, de voitures.
>> À revenir avec la tête, le portefeuille et l’appareil photos pleins de souvenirs.
>> À être émerveillée à chaque instant.

Sache, cher lecteur, que quoi qu’il en soit, je ne décevrai pas, ah ça non : silence radio pendant près d’une semaine, certes. Mais je te promets dès mon retour la publication de mon carnet de voyages.
Je sais, je vais te manquer… Rassure-toi, ce sera réciproque !

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Profites-en à fond Maggy !!
J'ai hâte d'avoir le résumé en images à ton retour !
Bisous,
Aurelie

Cherchez Bridget

Ma photo
Je suis une femme. Et ouais, plus de « Hé Mademoiselle » qui traîne : à 30 ans, je suis passée du côté obscur de la force. Je suis blonde. Oui, oui, une vraie, à l’état naturel. Avec tout ce que ça comporte comme préjugés. Ma meilleure défense et en même temps mon meilleur plan d’attaque : le classique : « hum, c’est mon côté blonde », valable en toutes circonstances, avec en option le doigt sur la bouche pour le côté naïve-coquine-irrésistible. Pour le meilleur et pour le pire. Parce qu’il faut souffrir pour être blonde, ça se travaille et ça s’entretient Madame, j’vous le dis moi. Je suis célibataire. Un peu. Souvent. De façon récurrente. TOUJOURS. TOUT LE TEMPS ! Ok, ok, je suis un cas désespéré. Je suis drôle bien sûr. Et j’assume. BREF, JE SUIS BRIDGET ! Quand j’ai commencé à écrire ce blog, j’avais simplement envie de partager mes mots et mes maux, comme une thérapie. Maintenant, c’est BEAUCOUP plus que ça : c’est mon petit coin de paradis, c’est mon grand plaisir, c’est ma fierté. Alors « come on in » : ris, pleure, râle, aime-moi, insulte-moi, mais surtout, surtout : amuse-toi autant que moi !!!