samedi 7 février 2009

NYC, our last day !


Aéroport de Newark, NYC, 18h heure locale, lundi 19 janvier 2009

Déjà notre dernière journée à New York ! Comme le temps passe vite quand on a la tête dans les nuages !
Nous avons entamé ce début de semaine par une virée en métro (dans le bon sens cette fois !) pour rejoindre le Financial District :
- Wall Street et ses beaux gosses (euh, non, toujours pas).
- Charging Bull et ses grosses … bref, no comment.
- Ground Zero, finalement devenu un grand chantier à ciel ouvert vu de l’extérieur.
- Ballade à Battery Park pour admirer la Statue de la Liberté vue de loin, l’Hudson qui charrie de véritables blocs de glace (voire même des avions en ce moment !!!).
Puis retour à l’hôtel pour boucler nos valises non sans un petit pincement au cœur avant d’aller déjeuner. Une folle envie de pizza à midi… Notre vœu a été exaucé grâce à la « concierge » de l’hôtel. Devenue une sainte depuis !
Ces pizzas
[1]… Hum, un vrai délice, le tout arrosé de Ginger Ale (Comment ça, pas très régime ??? On verra ça plus tard.) et dégusté sous la voûte de cette ancienne église reconvertie ! Original et le serveur est assez mignon aussi, ce qui ne gâche rien je dois dire (c’était pour moi ou pour ma sœur ce petit clin d’œil ???).
Un dernier tour de la ville sous une véritable tempête de neige ! Histoire de se blinder la tête de souvenirs. Maman a raison, on est comme dans un rêve, comme si on ne réalisait pas vraiment où on est ni ce qu’on vit.
Un super voyage en tout cas cher lecteur, je ne suis pas prête de l’oublier, et je suis contente que tu en profites un petit peu par mots interposés.


[1] John’s Pizzeria – 44th Street Beetween Broadway & 8th

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Cherchez Bridget

Ma photo
Je suis une femme. Et ouais, plus de « Hé Mademoiselle » qui traîne : à 30 ans, je suis passée du côté obscur de la force. Je suis blonde. Oui, oui, une vraie, à l’état naturel. Avec tout ce que ça comporte comme préjugés. Ma meilleure défense et en même temps mon meilleur plan d’attaque : le classique : « hum, c’est mon côté blonde », valable en toutes circonstances, avec en option le doigt sur la bouche pour le côté naïve-coquine-irrésistible. Pour le meilleur et pour le pire. Parce qu’il faut souffrir pour être blonde, ça se travaille et ça s’entretient Madame, j’vous le dis moi. Je suis célibataire. Un peu. Souvent. De façon récurrente. TOUJOURS. TOUT LE TEMPS ! Ok, ok, je suis un cas désespéré. Je suis drôle bien sûr. Et j’assume. BREF, JE SUIS BRIDGET ! Quand j’ai commencé à écrire ce blog, j’avais simplement envie de partager mes mots et mes maux, comme une thérapie. Maintenant, c’est BEAUCOUP plus que ça : c’est mon petit coin de paradis, c’est mon grand plaisir, c’est ma fierté. Alors « come on in » : ris, pleure, râle, aime-moi, insulte-moi, mais surtout, surtout : amuse-toi autant que moi !!!