samedi 19 novembre 2011

David contre Goliath

1536.
À l’heure où je vous écris, l’une de mes concurrentes comptabilise 1536 votes. Et moi 61, grâce à vous ! Maigre score vs la blogueuse qui semble avoir déjà gagné...
Et pourtant, je suis ravie. Ravie d’avoir osé déposer ma candidature, ravie d’avoir été sélectionnée, ravie de voir les gens me soutenir, ravie de constater un tel boom au niveau de la fréquentation de mon cher blog, ravie d’avoir pu faire  mon coming out.
J’ai comme l’impression d’avoir gagné moi aussi en fait.
(Cela étant, ce n’est pas une raison pour arrêter de voter, hein les amis ? TOUS LES JOURS !)

1536 (bis) ?
Je m’interroge sérieusement : comment accumuler autant de points en quelques jours ???
Un réseau social surdimensionné ? Un compte en banque qui lui permet d’acheter les gens ? Un ami geek qui a cracké le site de Elle ? (D’ailleurs, si vous en connaissez un, faites-moi signe ! Avec les impôts ce mois-ci, je ne pourrai malheureusement pas régler en cash, mais je pourrai toujours payer en nature* pour compenser).
* Offre soumise à conditions et valable sous réserve d’éligibilité.
En fait, je suppose qu’elle le vaut bien, je ne sais pas, je n’ai pas voulu consulter les autres blogs, je n’avais pas envie d’être influencée. Je me jetterai dessus dès la fin du concours en revanche. Bravo en tout cas.

61 !

61 votes qui me rendent fière. Qui m’ont donné envie de créer ma page Facebook : Il faut souffrir pour être blonde ; puis de créer un lien « j’aime » depuis mon blog qui renvoie sur la page FBK…
Et ce après avoir passé, en rentrant de ma journée de boulot, 3 heures sur des sites de geeks.
Il y a même des gens qui font des vidéos pour expliquer comment faire pour que ça fonctionne, si, si, je vous jure ! Remarquez, je ne crache pas dans la soupe, ils m’ont bien aidée !

3.
Des votes qui me donnent envie de continuer, 3 ans après le démarrage. Après tout, si ça vous fait autant de bien à vous qu’à moi, et comme il n’y a pas de mal à se faire du bien après tout, alors je ne lâcherai rien, non. Je donnerai tout.

2.
Vous avez jusqu’au 2 décembre pour me rendre encore plus heureuse et exaltée. Ça, c’est une belle motivation, non ?

1.
Une minute, le temps que j’écrive cet article, elle a récolté 2 votes de plus, soit 1539 voix ! 
Je n’ai plus qu’une chose à faire : continuer à vous motiver tous pour que je la rattrape !
Bridget n’a pas dit son dernier mot, c’est le moins que l’on puisse dire !

2 commentaires:

BritBrit Chérie a dit…

Hello Miss ! Je concours également avec toi dans la même catégorie.
Je pense que la tenancière n'est pas une fille mais un espèce de monstre à 3 têtes et 8 bras qui twittent à mort !
Allez, on s'en fiche, c'est déjà beau d'être nominée.
Bonne chance à nous.

Bridget a dit…

Chère BritBrit Chérie, tu as bien raison : serrons-nous les coudes !
Je suis ravie et fière d'être une de tes concurrentes : je lisais déjà - et avec plaisir - ton blog avant ! (Au pire on ira se boire un canon après le concours pour se congratuler mutuellement)
PS : Autre option pour le monstre : elle couche avec le webmaster de Elle ! :-)

Cherchez Bridget

Ma photo
Je suis une femme. Et ouais, plus de « Hé Mademoiselle » qui traîne : à 30 ans, je suis passée du côté obscur de la force. Je suis blonde. Oui, oui, une vraie, à l’état naturel. Avec tout ce que ça comporte comme préjugés. Ma meilleure défense et en même temps mon meilleur plan d’attaque : le classique : « hum, c’est mon côté blonde », valable en toutes circonstances, avec en option le doigt sur la bouche pour le côté naïve-coquine-irrésistible. Pour le meilleur et pour le pire. Parce qu’il faut souffrir pour être blonde, ça se travaille et ça s’entretient Madame, j’vous le dis moi. Je suis célibataire. Un peu. Souvent. De façon récurrente. TOUJOURS. TOUT LE TEMPS ! Ok, ok, je suis un cas désespéré. Je suis drôle bien sûr. Et j’assume. BREF, JE SUIS BRIDGET ! Quand j’ai commencé à écrire ce blog, j’avais simplement envie de partager mes mots et mes maux, comme une thérapie. Maintenant, c’est BEAUCOUP plus que ça : c’est mon petit coin de paradis, c’est mon grand plaisir, c’est ma fierté. Alors « come on in » : ris, pleure, râle, aime-moi, insulte-moi, mais surtout, surtout : amuse-toi autant que moi !!!