mercredi 27 avril 2011

Cette journée nous aura en tout cas bien crevées, et prévoyantes comme nous sommes, nous avions pris un RDV au Polynesian Spa. Avec ses piscines d’eau chaude naturelle (de 36°C à 42°C) qui donnent sur le Rotorua Lake et le petit soin réflexologie qui va bien, nous sommes comblées.
Rien de tel pour faire passer mes microbes ? J’aimerais bien mais la halte à la pharmacie est obligatoire vu mon état.
Pas question pour autant de faire l’impasse sur un dîner bien copieux : ce soir, ce sera Thaï ! Je ne rêve pourtant que d’une chose : une bonne nuit réparatrice.
Direction donc le « DOC », à quelques kilomètres du centre-ville. Le principe est le suivant : on gare le van dans une réserve naturelle protégée, en laissant à l’entrée une enveloppe avec une maigre compensation pour la nuit (entre 5 et 10$ NZD). Pas de gardien ni de barrière, tout est basé sur la confiance et le respect. Inimaginable chez nous bien sûr ! Sauf que les indications pour rejoindre le Doc sont bien maigres, et les routes non éclairées n’aident pas. Qu’importe ! On assure avec Aurél, et alors que tous les Néo-zélandais semblent couchés depuis belle lurette, les deux petites frenchies se préparent à leur seconde nuit dans le van.

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Cherchez Bridget

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Je suis une femme. Et ouais, plus de « Hé Mademoiselle » qui traîne : à 30 ans, je suis passée du côté obscur de la force. Je suis blonde. Oui, oui, une vraie, à l’état naturel. Avec tout ce que ça comporte comme préjugés. Ma meilleure défense et en même temps mon meilleur plan d’attaque : le classique : « hum, c’est mon côté blonde », valable en toutes circonstances, avec en option le doigt sur la bouche pour le côté naïve-coquine-irrésistible. Pour le meilleur et pour le pire. Parce qu’il faut souffrir pour être blonde, ça se travaille et ça s’entretient Madame, j’vous le dis moi. Je suis célibataire. Un peu. Souvent. De façon récurrente. TOUJOURS. TOUT LE TEMPS ! Ok, ok, je suis un cas désespéré. Je suis drôle bien sûr. Et j’assume. BREF, JE SUIS BRIDGET ! Quand j’ai commencé à écrire ce blog, j’avais simplement envie de partager mes mots et mes maux, comme une thérapie. Maintenant, c’est BEAUCOUP plus que ça : c’est mon petit coin de paradis, c’est mon grand plaisir, c’est ma fierté. Alors « come on in » : ris, pleure, râle, aime-moi, insulte-moi, mais surtout, surtout : amuse-toi autant que moi !!!