lundi 25 avril 2011

Lundi 21 mars 2011 – 20H20


Désolée pour le coup de mou de samedi soir, je vous propose de poursuivre le récit de nos péripéties en Nouvelle-Zélande. Next !

Une fois arrivées à Rotorua sans encombre (ouf !), nous avons suivi les conseils avisés de M et JB direction Wai-O-Tapu, pour observer des phénomènes géothermiques propres à la région.
Malheur ! Le lieu de départ de la balade ferme à 15H45 (il faudra d’ailleurs que je vous reparle des horaires à la néo-zélandaise, pas très faciles à gérer pour des latins comme nous…) et nous sommes arrivées… 10 minutes trop tard. La lose, mais c’est de notre faute, on n’avait qu’à gérer avec les indications des guides. Tant pis, nous sommes déçues bien sûr mais en profitons pour faire tous les repérages nécessaires à notre journée du mardi, qui s’annonce chargée du coup !
Pour notre première soirée toi + moi + le van :-) nous choisissons un camping proche du lac de Rotorua. Au calme, il offre tout le confort nécessaire + 3 petites piscines d’eau chaude naturelle dont nous décidons de profiter.
Et puis le Fat Dog Café semble être une adresse toute indiquée, alors c’est sur ce resto que se fixe notre choix pour le dîner. Sans prétention, la grosse salade est bien copieuse, et c’est sympa mais… vide. Forcément puisque les Néo-Zélandais mangent à partir de 17H30… Alors oui, 20H c’est le dernier service !
La découverte du jour ? Les « muds » de Wai-O-Tapu, de la boue en ébullition sous nos yeux. Etonnant et… jamais vu !

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Cherchez Bridget

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Je suis une femme. Et ouais, plus de « Hé Mademoiselle » qui traîne : à 30 ans, je suis passée du côté obscur de la force. Je suis blonde. Oui, oui, une vraie, à l’état naturel. Avec tout ce que ça comporte comme préjugés. Ma meilleure défense et en même temps mon meilleur plan d’attaque : le classique : « hum, c’est mon côté blonde », valable en toutes circonstances, avec en option le doigt sur la bouche pour le côté naïve-coquine-irrésistible. Pour le meilleur et pour le pire. Parce qu’il faut souffrir pour être blonde, ça se travaille et ça s’entretient Madame, j’vous le dis moi. Je suis célibataire. Un peu. Souvent. De façon récurrente. TOUJOURS. TOUT LE TEMPS ! Ok, ok, je suis un cas désespéré. Je suis drôle bien sûr. Et j’assume. BREF, JE SUIS BRIDGET ! Quand j’ai commencé à écrire ce blog, j’avais simplement envie de partager mes mots et mes maux, comme une thérapie. Maintenant, c’est BEAUCOUP plus que ça : c’est mon petit coin de paradis, c’est mon grand plaisir, c’est ma fierté. Alors « come on in » : ris, pleure, râle, aime-moi, insulte-moi, mais surtout, surtout : amuse-toi autant que moi !!!