mardi 1 février 2011

Lettre ouverte à Stéphane Rotenberg


Stéphane, rien ne va plus.

Quand je t’ai vu arriver hier à l’aéroport d’Orly pour la première épreuve de Top Chef, je me suis retournée sur mon canapé en cuir.
Toi qui étais si fringuant il y a encore 1 an, tu n'es plus que l'ombre de toi-même :
- T-shirt trempé de sueur dans Pékin Express… Et ne me dis pas que vous étiez en Inde, 90% d’humidité et 38°C en moyenne. On ne me la fait pas à moi.
- Les tempes dégarnies, gros problème masculin du reste, de plus en plus rependu chez nos homologues quel que soit leur âge. Mais ce n’est pas une excuse.
- Exit la chemise et le costume qui brille, qui ont tellement participé à ton image de beau gosse.

Mais que se passe-t-il merde Stéphane ??? Tu nous manques à Maman Bridget (big fan de la première heure, secrètement in love with you depuis la première émission de Pékin).

Ouf. Voici la seconde partie de l’émission d’hier, et je te retrouve enfin. Le retour du costume noir et de la chemise assortie. C’est mieux ! Chemise ouverte, chaîne en or qui brille ?! Pas loin. Le cheveu nickel. Tout ça pour la girafe blonde chevelue next to you? T'as raison les blondes y a rien de tel.

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Je suis une femme. Et ouais, plus de « Hé Mademoiselle » qui traîne : à 30 ans, je suis passée du côté obscur de la force. Je suis blonde. Oui, oui, une vraie, à l’état naturel. Avec tout ce que ça comporte comme préjugés. Ma meilleure défense et en même temps mon meilleur plan d’attaque : le classique : « hum, c’est mon côté blonde », valable en toutes circonstances, avec en option le doigt sur la bouche pour le côté naïve-coquine-irrésistible. Pour le meilleur et pour le pire. Parce qu’il faut souffrir pour être blonde, ça se travaille et ça s’entretient Madame, j’vous le dis moi. Je suis célibataire. Un peu. Souvent. De façon récurrente. TOUJOURS. TOUT LE TEMPS ! Ok, ok, je suis un cas désespéré. Je suis drôle bien sûr. Et j’assume. BREF, JE SUIS BRIDGET ! Quand j’ai commencé à écrire ce blog, j’avais simplement envie de partager mes mots et mes maux, comme une thérapie. Maintenant, c’est BEAUCOUP plus que ça : c’est mon petit coin de paradis, c’est mon grand plaisir, c’est ma fierté. Alors « come on in » : ris, pleure, râle, aime-moi, insulte-moi, mais surtout, surtout : amuse-toi autant que moi !!!