dimanche 19 juin 2011

Lundi 4 avril 2011 - suite et fin

Quelle journée ! Les prévisions météo sont beaucoup moins positives pour mes prochains et derniers jours sur l’île, raison pour laquelle mon road trip de ce lundi ne s’arrêtera pas là : après Mount Eden, ce sera One Tree Hill, un autre parc en plein centre-ville, où vaches et moutons côtoient paisiblement promeneurs, touristes et joggers.
Il était temps que j’y arrive : ça a été la grosse galère en bagnole pour trouver mon chemin : personne pour me guider, et la conduite en ville est forcément beaucoup moins simple.
Énervée et fatiguée, je laisse la Sky Tower à mon planning de demain : j’en ai ma claque !
Ça tombe bien, le reste de la soirée sera zen, à l’appart tous les 3 avec au menu des poireaux – jambon – béchamel, recette que je garde sous le coude pour la refaire à Paris.
Anecdote : c’est la journée des araignées ! Partout où je pose les yeux je me retrouve nez à nez avec ces insectes que je hais et que je crains surtout ! Et je ne vous parle pas de la tarentule (bébé certes mais quand même, ce n’est pas rien !!) que j’ai trouvée sous mon oreiller au réveil…

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Cherchez Bridget

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Je suis une femme. Et ouais, plus de « Hé Mademoiselle » qui traîne : à 30 ans, je suis passée du côté obscur de la force. Je suis blonde. Oui, oui, une vraie, à l’état naturel. Avec tout ce que ça comporte comme préjugés. Ma meilleure défense et en même temps mon meilleur plan d’attaque : le classique : « hum, c’est mon côté blonde », valable en toutes circonstances, avec en option le doigt sur la bouche pour le côté naïve-coquine-irrésistible. Pour le meilleur et pour le pire. Parce qu’il faut souffrir pour être blonde, ça se travaille et ça s’entretient Madame, j’vous le dis moi. Je suis célibataire. Un peu. Souvent. De façon récurrente. TOUJOURS. TOUT LE TEMPS ! Ok, ok, je suis un cas désespéré. Je suis drôle bien sûr. Et j’assume. BREF, JE SUIS BRIDGET ! Quand j’ai commencé à écrire ce blog, j’avais simplement envie de partager mes mots et mes maux, comme une thérapie. Maintenant, c’est BEAUCOUP plus que ça : c’est mon petit coin de paradis, c’est mon grand plaisir, c’est ma fierté. Alors « come on in » : ris, pleure, râle, aime-moi, insulte-moi, mais surtout, surtout : amuse-toi autant que moi !!!