dimanche 26 juin 2011

Mercredi 6 avril 2011

Je me suis couchée hier en me disant que les Anglo-saxons (notamment les Américains, les Néo-zélandais et les Australiens) avaient tout de même une espèce de capacité naturelle à engager la conversation avec des inconnus sans contrepartie aucune, et sans arrière-pensée, juste pour le plaisir de s’intéresser aux autres. Inutile de dire qu’à Paris, tu pourrais rester 3H assis à côté de quelqu’un sans qu’on t’adresse la parole !
Bref, ces tergiversations ne m’ont pas empêchée de dormir paisiblement jusqu’à… 10 heures ! Ma première vraie grasse mat’ du séjour. Et j’ai même pu prendre mon temps avant de partir pour la visite du musée d’Auckland. Un lieu ma foi très original pour nous, Européens, puisque :
- leur histoire est vieille de quelques petites centaines d’années,
- la présentation est très ludique, interactive et pédagogique,
- c’est à la fois un musée militaire, d’histoire naturelle (Avec des kiwis empaillés ! Enfin !) et un musée mauri.Surprenant donc, mais c’est aussi une jolie découverte qui m’aura bien pris 2 heures.
Mention spéciale tout d’abord pour la petite pièce intimiste dédiée à l’Holocauste, extrêmement touchante. J’ai aussi eu des sensations fortes en vivant la reconstitution réaliste d’une éruption volcanique depuis le salon d’une maison. Et j’ai été gagnée par l’émotion en entrant pieds nus dans une maison mauri reconstituée.

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Cherchez Bridget

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Je suis une femme. Et ouais, plus de « Hé Mademoiselle » qui traîne : à 30 ans, je suis passée du côté obscur de la force. Je suis blonde. Oui, oui, une vraie, à l’état naturel. Avec tout ce que ça comporte comme préjugés. Ma meilleure défense et en même temps mon meilleur plan d’attaque : le classique : « hum, c’est mon côté blonde », valable en toutes circonstances, avec en option le doigt sur la bouche pour le côté naïve-coquine-irrésistible. Pour le meilleur et pour le pire. Parce qu’il faut souffrir pour être blonde, ça se travaille et ça s’entretient Madame, j’vous le dis moi. Je suis célibataire. Un peu. Souvent. De façon récurrente. TOUJOURS. TOUT LE TEMPS ! Ok, ok, je suis un cas désespéré. Je suis drôle bien sûr. Et j’assume. BREF, JE SUIS BRIDGET ! Quand j’ai commencé à écrire ce blog, j’avais simplement envie de partager mes mots et mes maux, comme une thérapie. Maintenant, c’est BEAUCOUP plus que ça : c’est mon petit coin de paradis, c’est mon grand plaisir, c’est ma fierté. Alors « come on in » : ris, pleure, râle, aime-moi, insulte-moi, mais surtout, surtout : amuse-toi autant que moi !!!