dimanche 26 juin 2011

Mercredi 6 avril 2011 - Suite et fin

Je ne me suis pas arrêtée là : j’étais déjà passée rapidement par Parnell Road, mais je n’avais jamais eu l’occasion de m’y arrête. C’est chose faite : j’aurais d’ailleurs pu rester des heures à flâner entre les toutes petites boutiques et les restaurants branchés cachés dans les passages. J’en profite pour faire une pause gourmande à « La Boutique du Chocolat » où je déguste en terrasse 3 chocolats, un thé vert japonais et des waffles. Tout ça en lisant un bon Elle du vieux continent. Comment dire… Voilà l’idée que je me fais de la vie et des vacances ! Tout est parfait, serein, reposant.
Même pour une hyperactive comme moi car je n’en démords pas : je ne partirai pas sans avoir fait la Skytower ! Cette tour si reconnaissable est l’un des emblèmes d’Auckland et surtout le plus haut point de vue de l’île. Je prends l’ascenseur pour parvenir à mes fins, et je me fais doublement piéger : d’abord le sol de l’ascenseur est partiellement transparent, et les portes laissent carrément vue sur l’extérieur puisqu’elles sont vitrées. Double piège, double infarctus ! Je lâche un « Oh my God » totalement apeuré et je prends le soin de fermer les yeux jusqu’en haut où il me faudra également un temps d’adaptation avant de pouvoir en profiter pleinement.
Je décide sagement de ne pas trop m’approcher des vitres le temps de me sentir plus à l’aise. Les photos sont donc prises de loin et non, je ne marcherai pas sur les plaques en verre. Merci, mais non merci !
Et quoi ça ? Mon billet me permet de monter encore plus haut ?? Ce serait trop dommage de ne pas en profiter en effet (comme me le fait gentiment remarquer le jeune employé de la Sky Tower). Je lui demande quand même par acquit de conscience : « Is it scary ? » - genre pauvre petite chose effrayée. Il me rassure alors je monte. Étonnamment, je me sens mieux dans ce - pourtant - plus petit espace.
Comme je ne suis pas pressée, je pose mes (grosses) fesses (de vacancière qui en a beaucoup, mais alors beaucoup trop profité) sur le seul et unique canapé où je fais la connaissance de… Bruce ! Décidément, rien ne m’arrête ! Très sympa aussi Bruce l’Australien, il ne comprend d’ailleurs pas comment on peut avoir envie de s’expatrier :
« On n’a pas le Mont St Michel ici – There’s nothing like it here ! »
Merci Bruce, j’en prends bonne note.
Retour à l’appart pour une soirée filles : soupe/salade/DVD avec Brad. Oh Brad ! (Bonne nuit – smiley clin d’œil)

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Cherchez Bridget

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Je suis une femme. Et ouais, plus de « Hé Mademoiselle » qui traîne : à 30 ans, je suis passée du côté obscur de la force. Je suis blonde. Oui, oui, une vraie, à l’état naturel. Avec tout ce que ça comporte comme préjugés. Ma meilleure défense et en même temps mon meilleur plan d’attaque : le classique : « hum, c’est mon côté blonde », valable en toutes circonstances, avec en option le doigt sur la bouche pour le côté naïve-coquine-irrésistible. Pour le meilleur et pour le pire. Parce qu’il faut souffrir pour être blonde, ça se travaille et ça s’entretient Madame, j’vous le dis moi. Je suis célibataire. Un peu. Souvent. De façon récurrente. TOUJOURS. TOUT LE TEMPS ! Ok, ok, je suis un cas désespéré. Je suis drôle bien sûr. Et j’assume. BREF, JE SUIS BRIDGET ! Quand j’ai commencé à écrire ce blog, j’avais simplement envie de partager mes mots et mes maux, comme une thérapie. Maintenant, c’est BEAUCOUP plus que ça : c’est mon petit coin de paradis, c’est mon grand plaisir, c’est ma fierté. Alors « come on in » : ris, pleure, râle, aime-moi, insulte-moi, mais surtout, surtout : amuse-toi autant que moi !!!