Je ne me suis pas arrêtée là : j’étais déjà passée rapidement par Parnell Road, mais je n’avais jamais eu l’occasion de m’y arrête. C’est chose faite : j’aurais d’ailleurs pu rester des heures à flâner entre les toutes petites boutiques et les restaurants branchés cachés dans les passages. J’en profite pour faire une pause gourmande à « La Boutique du Chocolat » où je déguste en terrasse 3 chocolats, un thé vert japonais et des waffles. Tout ça en lisant un bon Elle du vieux continent. Comment dire… Voilà l’idée que je me fais de la vie et des vacances ! Tout est parfait, serein, reposant.
Même pour une hyperactive comme moi car je n’en démords pas : je ne partirai pas sans avoir fait la Skytower ! Cette tour si reconnaissable est l’un des emblèmes d’Auckland et surtout le plus haut point de vue de l’île. Je prends l’ascenseur pour parvenir à mes fins, et je me fais doublement piéger : d’abord le sol de l’ascenseur est partiellement transparent, et les portes laissent carrément vue sur l’extérieur puisqu’elles sont vitrées. Double piège, double infarctus ! Je lâche un « Oh my God » totalement apeuré et je prends le soin de fermer les yeux jusqu’en haut où il me faudra également un temps d’adaptation avant de pouvoir en profiter pleinement.
Je décide sagement de ne pas trop m’approcher des vitres le temps de me sentir plus à l’aise. Les photos sont donc prises de loin et non, je ne marcherai pas sur les plaques en verre. Merci, mais non merci !
Et quoi ça ? Mon billet me permet de monter encore plus haut ?? Ce serait trop dommage de ne pas en profiter en effet (comme me le fait gentiment remarquer le jeune employé de la Sky Tower). Je lui demande quand même par acquit de conscience : « Is it scary ? » - genre pauvre petite chose effrayée. Il me rassure alors je monte. Étonnamment, je me sens mieux dans ce - pourtant - plus petit espace.
Comme je ne suis pas pressée, je pose mes (grosses) fesses (de vacancière qui en a beaucoup, mais alors beaucoup trop profité) sur le seul et unique canapé où je fais la connaissance de… Bruce ! Décidément, rien ne m’arrête ! Très sympa aussi Bruce l’Australien, il ne comprend d’ailleurs pas comment on peut avoir envie de s’expatrier :
« On n’a pas le Mont St Michel ici – There’s nothing like it here ! »
Merci Bruce, j’en prends bonne note.
Retour à l’appart pour une soirée filles : soupe/salade/DVD avec Brad. Oh Brad ! (Bonne nuit – smiley clin d’œil)
Je décide sagement de ne pas trop m’approcher des vitres le temps de me sentir plus à l’aise. Les photos sont donc prises de loin et non, je ne marcherai pas sur les plaques en verre. Merci, mais non merci !
Et quoi ça ? Mon billet me permet de monter encore plus haut ?? Ce serait trop dommage de ne pas en profiter en effet (comme me le fait gentiment remarquer le jeune employé de la Sky Tower). Je lui demande quand même par acquit de conscience : « Is it scary ? » - genre pauvre petite chose effrayée. Il me rassure alors je monte. Étonnamment, je me sens mieux dans ce - pourtant - plus petit espace.
Comme je ne suis pas pressée, je pose mes (grosses) fesses (de vacancière qui en a beaucoup, mais alors beaucoup trop profité) sur le seul et unique canapé où je fais la connaissance de… Bruce ! Décidément, rien ne m’arrête ! Très sympa aussi Bruce l’Australien, il ne comprend d’ailleurs pas comment on peut avoir envie de s’expatrier :
« On n’a pas le Mont St Michel ici – There’s nothing like it here ! »
Merci Bruce, j’en prends bonne note.
Retour à l’appart pour une soirée filles : soupe/salade/DVD avec Brad. Oh Brad ! (Bonne nuit – smiley clin d’œil)
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