dimanche 19 juin 2011

Lundi 4 avril 2011

Réveil en fanfare à successivement :
- 5H10 : Le chat veut sortir.
- 6H10 : Texto d’Aurél qui est bien arrivée.
- 6H30 : vrai réveil cette fois !
Je récupère ma petite Daihatsu à 8H. Elle est… toute petite ! Ça change de calibre maintenant que j’étais bien habituée aux tanks. Toujours la conduite manuelle à gauche en revanche. Heureusement, j’ai eu de l’entraînement !
Je fonce (enfin tout est relatif avec ma bébé voiture) vers Shakespear Park. Mémorable. Sous un beau soleil d’été, je me lance dans la grande balade de 2H/2H30 (qu’est-ce qui m’a pris ?!) toute seule.
- Ou plutôt avec les vaches et moutons qui m’observent tranquillement.
- Au milieu des pukekos, que je peux enfin prendre en photos (ce sont des animaux typiques de l’île avec leurs plumes bleues et noires).
- Via une forêt de kauris (là aussi belle surprise car ces immenses arbres sont impressionnants, ce qui ne m’empêche pas de frissonner devant les toujours aussi impressionnantes toiles d’araignées…).
Un seul adjectif : paisible. Je me sens reposée et tout simplement bien dans cet endroit magnifique :

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Cherchez Bridget

Ma photo
Je suis une femme. Et ouais, plus de « Hé Mademoiselle » qui traîne : à 30 ans, je suis passée du côté obscur de la force. Je suis blonde. Oui, oui, une vraie, à l’état naturel. Avec tout ce que ça comporte comme préjugés. Ma meilleure défense et en même temps mon meilleur plan d’attaque : le classique : « hum, c’est mon côté blonde », valable en toutes circonstances, avec en option le doigt sur la bouche pour le côté naïve-coquine-irrésistible. Pour le meilleur et pour le pire. Parce qu’il faut souffrir pour être blonde, ça se travaille et ça s’entretient Madame, j’vous le dis moi. Je suis célibataire. Un peu. Souvent. De façon récurrente. TOUJOURS. TOUT LE TEMPS ! Ok, ok, je suis un cas désespéré. Je suis drôle bien sûr. Et j’assume. BREF, JE SUIS BRIDGET ! Quand j’ai commencé à écrire ce blog, j’avais simplement envie de partager mes mots et mes maux, comme une thérapie. Maintenant, c’est BEAUCOUP plus que ça : c’est mon petit coin de paradis, c’est mon grand plaisir, c’est ma fierté. Alors « come on in » : ris, pleure, râle, aime-moi, insulte-moi, mais surtout, surtout : amuse-toi autant que moi !!!