jeudi 9 juin 2011

Retour au van avec une contravention (génial), direction l’aéroport pour notre vol Queenstown-Auckland. Je ne sais pas ce qui m’arrive, mais je suis incapable de passer la troisième, et ça m’énerve !!! Je demande donc régulièrement à Aurél de me donner un coup de main pendant que j’embraye. La honte.
Ça ne s’arrête pas là : au moment de rendre notre van, le mec voit la bosse, et nous décidons de jouer franc jeu. Il se fout de ma gueule. Quoi ? Je reculais et j’ai pas vu !!
Il me répond : « Yes, it happens » avec un sourire railleur au coin des lèvres. Connard.
Dans la mesure où nous avons souscrit une assurance, nous n’aurons rien à payer, mais il nous fait malgré tout remplir un constat. Je m’y colle :
- Vitesse au moment de l’impact : Euh, 10 km/h… max.
- Détails de l’exploit : JE conduisais et NOUS n’avons pas vu l’obstacle (la faute est bel et bien partagée, non mais !).
- Schéma explicatif de l’incident : Je vous laisse juger par vous-même.
Vol vers Auckland sans grande surprise et dîner avec M et JB dans la CBD au Moon Soon Poon : excellent, très bon rapport qualité-prix, et joli cadre. Couchées à 1H...

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Cherchez Bridget

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Je suis une femme. Et ouais, plus de « Hé Mademoiselle » qui traîne : à 30 ans, je suis passée du côté obscur de la force. Je suis blonde. Oui, oui, une vraie, à l’état naturel. Avec tout ce que ça comporte comme préjugés. Ma meilleure défense et en même temps mon meilleur plan d’attaque : le classique : « hum, c’est mon côté blonde », valable en toutes circonstances, avec en option le doigt sur la bouche pour le côté naïve-coquine-irrésistible. Pour le meilleur et pour le pire. Parce qu’il faut souffrir pour être blonde, ça se travaille et ça s’entretient Madame, j’vous le dis moi. Je suis célibataire. Un peu. Souvent. De façon récurrente. TOUJOURS. TOUT LE TEMPS ! Ok, ok, je suis un cas désespéré. Je suis drôle bien sûr. Et j’assume. BREF, JE SUIS BRIDGET ! Quand j’ai commencé à écrire ce blog, j’avais simplement envie de partager mes mots et mes maux, comme une thérapie. Maintenant, c’est BEAUCOUP plus que ça : c’est mon petit coin de paradis, c’est mon grand plaisir, c’est ma fierté. Alors « come on in » : ris, pleure, râle, aime-moi, insulte-moi, mais surtout, surtout : amuse-toi autant que moi !!!