Cela étant, je ne pensais déjà pas choper jusque-là, mais alors depuis « l’atterrissage » sur l’île, je peux vous assurer que nous sommes très très loin du compte : en plus de mon accoutrement habituel, Luke me refile un casque de chantier jaune et un masque à gaz. Décidément, quelqu’un doit m’en vouloir beaucoup quelque part.
Sur l’île, l’impression est tout simplement lunaire. Nous sommes les seuls visiteurs, et j’ai l’impression d’être dans un film de science-fiction. Je vois en plus Aurél qui prend littéralement son pied, et ça me fait bien plaisir. Nous marchons sur une terre de souffre, elle fume, elle brûle, elle bout. À l’approche du cratère l’odeur se fait plus âcre et les sensations plus fortes encore. Nous vivons un moment unique.
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