lundi 9 mai 2011

Jeudi 24 mars 2011




Nous nous levons tôt en ce jeudi 24 mars 2011. Peu motivées en revanche. Voire pas motivées du tout. La tête dans le cul, nous nous faisons quelques toasts alors que la famille asiatique en face de nous nous fait saliver avec une omelette, des tartines, de nombreuses boissons, bref, un king-size breakfast à 7 (3 générations) autour de la table.
Direction la plage de Hot Water Beach pour creuser dans le sable avec nos pelles. Sauf que des pelles… eh bien nous n’en avons pas ! Alors nous attendons sur le parking devant la petite cahute qui nous permettra de louer les précieux objets. Tout cela semble parfait mais… pour le moment la cahute est tout bêtement fermée. Dommage. Nous en profitons pour nous mettre (difficilement) en maillot de bain. Il faut dire qu’il fait un peu frisquet ce matin. Beau mais frisquet. Dès que le rideau est monté, nous fonçons. Ce n’est manifestement pas notre jour : nous ne pourrons pas accéder à la plage avant… 15H30 au plus tôt puisqu’il faut attendre la marée basse. Nous prenons rapidement notre décision : nous ne tremperons pas nos fesses dans des baignoires de sable ce matin, on a un planning nous ! Nous prenons néanmoins le temps de siroter un cappuccino (excellents en Nouvelle-Zélande) face à la mer. Cela nous permet d’envisager la journée avec sérénité et déjà de superbes images en tête.

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Cherchez Bridget

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Je suis une femme. Et ouais, plus de « Hé Mademoiselle » qui traîne : à 30 ans, je suis passée du côté obscur de la force. Je suis blonde. Oui, oui, une vraie, à l’état naturel. Avec tout ce que ça comporte comme préjugés. Ma meilleure défense et en même temps mon meilleur plan d’attaque : le classique : « hum, c’est mon côté blonde », valable en toutes circonstances, avec en option le doigt sur la bouche pour le côté naïve-coquine-irrésistible. Pour le meilleur et pour le pire. Parce qu’il faut souffrir pour être blonde, ça se travaille et ça s’entretient Madame, j’vous le dis moi. Je suis célibataire. Un peu. Souvent. De façon récurrente. TOUJOURS. TOUT LE TEMPS ! Ok, ok, je suis un cas désespéré. Je suis drôle bien sûr. Et j’assume. BREF, JE SUIS BRIDGET ! Quand j’ai commencé à écrire ce blog, j’avais simplement envie de partager mes mots et mes maux, comme une thérapie. Maintenant, c’est BEAUCOUP plus que ça : c’est mon petit coin de paradis, c’est mon grand plaisir, c’est ma fierté. Alors « come on in » : ris, pleure, râle, aime-moi, insulte-moi, mais surtout, surtout : amuse-toi autant que moi !!!