Et ce n’est qu’un début. En effet, le point d’orgue de cette journée sera notre balade à Cathedral Cove, cette plage que les guides de la Nouvelle-Zélande ne cessent de mettre en avant. Celle qu’il ne faudrait pas louper. Alors malgré un chemin un peu difficile, parfois les pieds dans la boue, malgré une descente périlleuse le long de la paroi, tenue par une corde (pour cause de destruction du petit escalier pourtant si pratique), et malgré le soleil qui nous pique la peau, nous donnons tout.
Le jeu en vaut la chandelle : l’arrivée sur la plage est tout simplement fabuleuse. Il y a un rocher en plein milieu de l’eau, à quelques mètres du rivage. L’eau est assez agitée, et nous sommes très peu nombreux à avoir tenté le track ce matin. Nous pouvons donc profiter pleinement de ce havre de paix, de sa douche naturelle, et du tunnel formé dans la roche. Je suis littéralement sous le charme. Cet endroit me ressource, il y a comme une impression de bien-être, cette idée que rien n’est grave, qu’il faut relativiser les choses. Sans parler de la prise de conscience de la beauté de la nature. De ce que la terre nous offre et dont nous devons prendre soin parce que c’est un trésor.
Le temps se fige, et pourtant, nous ne pouvons pas rester ici éternellement : il est temps de remonter via le chemin boueux de l’aller. Et là, ça se corse : agrippée à une corde, en équilibre précaire, je suis en fait morte de trouille et je réalise que si, je vais peut-être crever ici… parce que je ne pourrai jamais remonter ! Ouf, un couple s’en mêle, et pendant qu’elle se fout de ma gueule ( !), le monsieur gentleman (mais laid, y a pas de justice dans ce bas monde) me prête sa main. Sympa, je le remercie chaleureusement. Quant à elle, je la retiens et je savoure ma vengeance quelques mètres plus loin elle se retrouve en grand écart, pas plus fière que moi quelques minutes plus tôt. Et toc.
Le jeu en vaut la chandelle : l’arrivée sur la plage est tout simplement fabuleuse. Il y a un rocher en plein milieu de l’eau, à quelques mètres du rivage. L’eau est assez agitée, et nous sommes très peu nombreux à avoir tenté le track ce matin. Nous pouvons donc profiter pleinement de ce havre de paix, de sa douche naturelle, et du tunnel formé dans la roche. Je suis littéralement sous le charme. Cet endroit me ressource, il y a comme une impression de bien-être, cette idée que rien n’est grave, qu’il faut relativiser les choses. Sans parler de la prise de conscience de la beauté de la nature. De ce que la terre nous offre et dont nous devons prendre soin parce que c’est un trésor.
Le temps se fige, et pourtant, nous ne pouvons pas rester ici éternellement : il est temps de remonter via le chemin boueux de l’aller. Et là, ça se corse : agrippée à une corde, en équilibre précaire, je suis en fait morte de trouille et je réalise que si, je vais peut-être crever ici… parce que je ne pourrai jamais remonter ! Ouf, un couple s’en mêle, et pendant qu’elle se fout de ma gueule ( !), le monsieur gentleman (mais laid, y a pas de justice dans ce bas monde) me prête sa main. Sympa, je le remercie chaleureusement. Quant à elle, je la retiens et je savoure ma vengeance quelques mètres plus loin elle se retrouve en grand écart, pas plus fière que moi quelques minutes plus tôt. Et toc.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire