dimanche 22 mai 2011

Samedi 26 mars 2011

La nuit fut bonne. Enfin, surtout pour moi : j’ai en effet bavé, transpiré, ronflé… la super classe. Je plains cette pauvre Aurél !
Le temps ne sera décidément pas de la partie ce week-end, et le réveil pluvieux ne fait que confirmer cette tendance. Nous privilégions donc les visites de lieux couverts, à commencer par l’aquarium d’Auckland, qui bénéficie d’un bon plan marketing (les affiches font bien envie), mais qui est très décevant. Tant pis, on se rattrape en mangeant un morceau à Mount Eden, dans le délicieux Circus, avec le meilleur carrot cake de tous les temps. Pour digérer, nous faisons un petit tour (entre les gouttes) dans la rue commerçante de ce quartier très sympa. Avec un coup de cœur pour un bookshop trop mignon, comme je les aime, avec une ambiance cosy, une jolie sélection de livres et un chat qui ronronne sur le comptoir.
À cela s’ajoute une boutique de souvenirs dans la CBD (centre-ville d’Auckland) où les kiwis et moutons sont déclinés à l’infini avec plus ou moins de bon goût. Inutile de vous dire que j’ai dépensé sans compter, et que ces cadeaux sont surtout… pour moi ! Et oui, les vacances, c’est aussi et surtout pour se faire plaisir. Na.
La journée s’achève au supermarché, où je m’extasie devant les packs néo-zélandais. Mes amis en profitent pour se foutre de moi et de mes « c’est super » lâchés devant les linéaires.
Notre dîner se révélera être typique puisque nous goûtons aux moules géantes, l’une des spécialités de l’île. Et bien c’est très bon. Arrosé d’un petit blanc bien frais, ça passe tout seul. Puis JB nous quitte et nous passons une soirée filles à papoter. Et papoter. Et papoter encore.

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Cherchez Bridget

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Je suis une femme. Et ouais, plus de « Hé Mademoiselle » qui traîne : à 30 ans, je suis passée du côté obscur de la force. Je suis blonde. Oui, oui, une vraie, à l’état naturel. Avec tout ce que ça comporte comme préjugés. Ma meilleure défense et en même temps mon meilleur plan d’attaque : le classique : « hum, c’est mon côté blonde », valable en toutes circonstances, avec en option le doigt sur la bouche pour le côté naïve-coquine-irrésistible. Pour le meilleur et pour le pire. Parce qu’il faut souffrir pour être blonde, ça se travaille et ça s’entretient Madame, j’vous le dis moi. Je suis célibataire. Un peu. Souvent. De façon récurrente. TOUJOURS. TOUT LE TEMPS ! Ok, ok, je suis un cas désespéré. Je suis drôle bien sûr. Et j’assume. BREF, JE SUIS BRIDGET ! Quand j’ai commencé à écrire ce blog, j’avais simplement envie de partager mes mots et mes maux, comme une thérapie. Maintenant, c’est BEAUCOUP plus que ça : c’est mon petit coin de paradis, c’est mon grand plaisir, c’est ma fierté. Alors « come on in » : ris, pleure, râle, aime-moi, insulte-moi, mais surtout, surtout : amuse-toi autant que moi !!!