jeudi 31 décembre 2009

Curaçao, Aéroport, Vendredi 4 Décembre 2009, 10H10


Je ne peux pas croire que le séjour touche déjà à sa fin. C’était vraiment super. J’ai passé 2 fabuleuses semaines ici. On s’est levés tous les 3 ce matin à 5H pour petit-déjeuner ensemble et ils sont restés avec moi jusqu’à la dernière seconde : le vol avait 2H de retard ! Jarett est allé acheter un jeu de cartes à la boutique (la seule !) de l’aéroport pour passer le temps. Trop mignon. Sauf que, après de nombreux hugs, et une fois passé le 1er garde de l’aéroport, je me rends compte qu’il faut payer 32 USD de taxes et j’ai… 29USD sur moi !
Je retourne sur mes pas illico, je traverse le parking en hurlant comme une furie parce que je sais que Nico a 5USD sur lui ! Il me les donne, un dernier hug pour la route et je passe la douane… sans avoir à payer car les taxes sont incluses dans le prix de mon billet !!!
Damn it. Mais ça valait bien un dernier au revoir.
Là, tout de suite, je me sens un peu tristoune… Ils me manquent déjà.
Et la journée va être très, très longue.

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Cherchez Bridget

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Je suis une femme. Et ouais, plus de « Hé Mademoiselle » qui traîne : à 30 ans, je suis passée du côté obscur de la force. Je suis blonde. Oui, oui, une vraie, à l’état naturel. Avec tout ce que ça comporte comme préjugés. Ma meilleure défense et en même temps mon meilleur plan d’attaque : le classique : « hum, c’est mon côté blonde », valable en toutes circonstances, avec en option le doigt sur la bouche pour le côté naïve-coquine-irrésistible. Pour le meilleur et pour le pire. Parce qu’il faut souffrir pour être blonde, ça se travaille et ça s’entretient Madame, j’vous le dis moi. Je suis célibataire. Un peu. Souvent. De façon récurrente. TOUJOURS. TOUT LE TEMPS ! Ok, ok, je suis un cas désespéré. Je suis drôle bien sûr. Et j’assume. BREF, JE SUIS BRIDGET ! Quand j’ai commencé à écrire ce blog, j’avais simplement envie de partager mes mots et mes maux, comme une thérapie. Maintenant, c’est BEAUCOUP plus que ça : c’est mon petit coin de paradis, c’est mon grand plaisir, c’est ma fierté. Alors « come on in » : ris, pleure, râle, aime-moi, insulte-moi, mais surtout, surtout : amuse-toi autant que moi !!!