lundi 28 décembre 2009

Curaçao, Mercredi 2 Décembre 2009, 21H08


Nous avons dîné au resto hier soir : japonais. Eh bien je vais vous dire : Planetsushi, Shogun de Rueil et même – oui même – Sushishop, vous pouvez aller vous rhabiller vite fait parce que c’était de très très loin les meilleurs sushis/makis que j’ai jamais mangés. Plein de saveurs et d’associations inattendues (de la sardine grillée, de la banane plantain, et même un cheesecake tempura) qui ont réveillé mes papilles. En revanche, avec 2 hommes à table, il vaut mieux se ruer sur son assiette, parce que c’est vraiment chacun pour sa gueule. Autant ils peuvent être prévenants et gentlemen la plupart du temps, autant dès qu’on parle nourriture, on retourne au stade primaire de l’évolution animale. Ça fait un peu peur… À part ça, Jarett a fait un gâteau au chocolat hier (1kg de chocolat au lait et à mon avis autant de beurre et de miel). C’était hyper gentil et très honnêtement, chaque bouchée (6 000 kcal donc) est orgasmique. Better than sex. Ou de ce que je m’en souviens ;-) Je vous laisse, c’est Mac Do ce soir avec Nico. Et régime sec en rentrant. Eau, eau, et beaucoup de gym suédoise…

Aucun commentaire:

Cherchez Bridget

Ma photo
Je suis une femme. Et ouais, plus de « Hé Mademoiselle » qui traîne : à 30 ans, je suis passée du côté obscur de la force. Je suis blonde. Oui, oui, une vraie, à l’état naturel. Avec tout ce que ça comporte comme préjugés. Ma meilleure défense et en même temps mon meilleur plan d’attaque : le classique : « hum, c’est mon côté blonde », valable en toutes circonstances, avec en option le doigt sur la bouche pour le côté naïve-coquine-irrésistible. Pour le meilleur et pour le pire. Parce qu’il faut souffrir pour être blonde, ça se travaille et ça s’entretient Madame, j’vous le dis moi. Je suis célibataire. Un peu. Souvent. De façon récurrente. TOUJOURS. TOUT LE TEMPS ! Ok, ok, je suis un cas désespéré. Je suis drôle bien sûr. Et j’assume. BREF, JE SUIS BRIDGET ! Quand j’ai commencé à écrire ce blog, j’avais simplement envie de partager mes mots et mes maux, comme une thérapie. Maintenant, c’est BEAUCOUP plus que ça : c’est mon petit coin de paradis, c’est mon grand plaisir, c’est ma fierté. Alors « come on in » : ris, pleure, râle, aime-moi, insulte-moi, mais surtout, surtout : amuse-toi autant que moi !!!