dimanche 20 décembre 2009

Curaçao, Mercredi 25 Novembre 2009, 23H10



Cette ballade en solitaire dans les rues de Willemstad m’a beaucoup plu. Ça peut paraître stupide, mais je me suis habituée à vivre avec moi-même (!!!) et ces quelques heures à me laisser porter m’ont fait un bien fou.
J’en ai profité pour faire les boutiques, m’offrir un « batido » (smoothie à base de fruits frais à se damner), prendre des photos, et... me faire siffler ! Il semble en effet que les locaux soient sensibles aux petites blondes… et je suppose que cela n’a rien à voir avec le fait qu’à chaque coup de vent, ma jupe se soulève jusqu’à apercevoir ma petite culotte... Non, rien à voir.
Après quoi Nico m’a rejoint pour une piña colada devant le coucher du soleil (ouf, de l’alcool, je commençais à dépérir moi !) et un petit tour au ciné. Après la séance, direction Fort Nassau (un des forts de l’île construit pour sa défense et aujourd’hui transformé en restaurant…) pour une vue imprenable de l’île la nuit. Sympa.
Bon, maintenant, il faut que je tienne 1H30 de plus avant d’aller chercher Jarett à son boulot. C’est pas gagné pour tout vous dire !

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Cherchez Bridget

Ma photo
Je suis une femme. Et ouais, plus de « Hé Mademoiselle » qui traîne : à 30 ans, je suis passée du côté obscur de la force. Je suis blonde. Oui, oui, une vraie, à l’état naturel. Avec tout ce que ça comporte comme préjugés. Ma meilleure défense et en même temps mon meilleur plan d’attaque : le classique : « hum, c’est mon côté blonde », valable en toutes circonstances, avec en option le doigt sur la bouche pour le côté naïve-coquine-irrésistible. Pour le meilleur et pour le pire. Parce qu’il faut souffrir pour être blonde, ça se travaille et ça s’entretient Madame, j’vous le dis moi. Je suis célibataire. Un peu. Souvent. De façon récurrente. TOUJOURS. TOUT LE TEMPS ! Ok, ok, je suis un cas désespéré. Je suis drôle bien sûr. Et j’assume. BREF, JE SUIS BRIDGET ! Quand j’ai commencé à écrire ce blog, j’avais simplement envie de partager mes mots et mes maux, comme une thérapie. Maintenant, c’est BEAUCOUP plus que ça : c’est mon petit coin de paradis, c’est mon grand plaisir, c’est ma fierté. Alors « come on in » : ris, pleure, râle, aime-moi, insulte-moi, mais surtout, surtout : amuse-toi autant que moi !!!