dimanche 13 décembre 2009

Toujours dans l’avion, en vol vers Miami, 16H30

Voilà comment se passent les 6 premières heures de ce long courrier vers Miami :
- La bouffe est pas mauvaise. J’avoue, j’ai même été agréablement surprise.
- J’ai fait une petite sieste, la tête bien calée dans mon oreiller spécial transports acheté à l’aéroport. La Maggy’s touch du jour ? Il est exactement de la même couleur que les petites couvertures American Airlines qu’on nous a distribuées. Youpi !
- J’ai feuilleté un Biba et un « The Economist » gratuits. Youpi x2 !
- Petite pensée pour Aurél, qui aurait déjà enfilé la 4ème (voire 5ème) couche depuis longtemps : je pense qu’il fait –12°C ici !
- J’ai vu 2 films pour enfants (Youpi x3 !!!) : « l’âge de glace 3 » et « hotel for dogs ». Sans rire, qui s’occupe de la programmation ici ?
- Et puis toujours les petits désagréments liés aux longs trajets en avion :
o Jambes lourdes : j’ai mes chaussettes spéciales pour ça.
o Flatulences : jamais de boissons gazeuses à bord ni de chewing-gums pour moi. Merci, mais ce serait pire.
o Un pantalon qui se déboutonne pour « respirer ».
o Un stick à lèvres très hydratant (l’altitude dessèche vraiment beaucoup).
>> Il est vraiment temps que je me trouve un mec, non ? Je finis par avoir un petit côté baronne de Rothschild et ça me fait flipper…

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Cherchez Bridget

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Je suis une femme. Et ouais, plus de « Hé Mademoiselle » qui traîne : à 30 ans, je suis passée du côté obscur de la force. Je suis blonde. Oui, oui, une vraie, à l’état naturel. Avec tout ce que ça comporte comme préjugés. Ma meilleure défense et en même temps mon meilleur plan d’attaque : le classique : « hum, c’est mon côté blonde », valable en toutes circonstances, avec en option le doigt sur la bouche pour le côté naïve-coquine-irrésistible. Pour le meilleur et pour le pire. Parce qu’il faut souffrir pour être blonde, ça se travaille et ça s’entretient Madame, j’vous le dis moi. Je suis célibataire. Un peu. Souvent. De façon récurrente. TOUJOURS. TOUT LE TEMPS ! Ok, ok, je suis un cas désespéré. Je suis drôle bien sûr. Et j’assume. BREF, JE SUIS BRIDGET ! Quand j’ai commencé à écrire ce blog, j’avais simplement envie de partager mes mots et mes maux, comme une thérapie. Maintenant, c’est BEAUCOUP plus que ça : c’est mon petit coin de paradis, c’est mon grand plaisir, c’est ma fierté. Alors « come on in » : ris, pleure, râle, aime-moi, insulte-moi, mais surtout, surtout : amuse-toi autant que moi !!!